En 2020, un français a reçu 4365 emails promotionnels dont 3245 jamais ouverts…
En 2020, les newsletters reçues par un Français ont été responsables de l’émission de 43kg de CO2 soit 355 km en Peugeot 208. Parmi ces emails, seuls 25% ont été ouverts… Ainsi, les emails promotionnels inutiles ont une empreinte carbone annuelle de 33 kg à l’échelle d’un français soit 280 km en voiture.
Les générations et les genres ne sont pas égaux face à ce problème !
La génération X est la génération dont les boîtes mails polluent le plus avec 4325 newsletters non ouvertes en 2020 soit l’équivalent de l’empreinte carbone de 370 km en voiture ! En moyenne, on observe aussi que les femmes sont davantage la cible de newsletters puisqu’elles reçoivent 928 newsletters de plus que les hommes.
Un problème qui se transforme en fléau sur 10 ans
Les newsletters reçues par un français en 2020 ont une empreinte carbone de 46 kg de CO₂. Si vous ne nettoyez pas votre boîte mail pendant 10 ans, cette dernière aura une empreinte carbone annuelle de 2,5 tonnes, autant qu’un aller-retour Paris Moscou en avion !
Heureusement, ce fléau est facile à combattre
Si tous les français supprimaient leurs mails inutiles, cela éviterait l’émission de 1,8 million de tonnes de CO₂ par an. Soit l’équivalent de la pollution émise par une ville de 160 000 habitants comme Grenoble pendant 1 an.
Et il existe beaucoup de solutions pour limiter son empreinte carbone numérique
Comme : limiter le nombre de destinataires d’un mail, nettoyer sa boîte mail, baisser la qualité du streaming…
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Râler pour 370km de voitures quand un français fait en moyenne 12 000km/an avec sa voiture (donc sans compter quand il prend le train, l’avion… ). A côté de ça, le taux de gens qui ont un STOP PUB est dérisoire, alors que ça pollue bien plus.
On cherche vraiment pas les solutions aux bons endroits, j’ai plus pollué à lire l’infographie que je ne pourrais sauver la planète en appliquant leurs conseils sur mes newsletters (déjà filtrées, mais surtout pour pas me polluer moi).
le pire dans l’histoire est le titre “p… a clics” internet pollue…on dirait du CNEWS une excuse pour que ceux qui ne se sont pas mis a l’internet… Le problème c est comment est produite l’énergie qui alimente les serveurs et les ordinateurs pas l’internet en lui même….De deux, on en parle de combien de co2 ou d arbres coupés ca a économisé…. Ce n’est pas parce que la France ou l Europe ne sont pas présentes dans les champions du net qu il faut cracher dessus bêtement…
C’est de la pollution indirecte. L’informatique, en fonctionnement, n’emet pas de gaz polluant ni ne participe au rechuaffement climatique. C’est l’energie utilisé qui pollue ! LA meme qui fait fonctionner nos frigos, fours, tv et microondes , alimente nos voitures electrique, , la meme qui alimente nos chaufages, la meme qui eclaire nos maisons et nos rues. Le jour ou l’electricité est 100% produit par les eoliennes et panneaux solaires, l’empreinte carbone informatique va baisser miraculeusement….Ne nous trompons pas de cible…
Et si au lieu de parler des courriels non lu par les destinataires, on jetait l’opprobe sur ceux qui les émettent.
je ne pense pas que tous ceux dont on parle dans cette infographie, ces générations X,Y,Z… (que de mots compliqués…) soit volontaire pour recevoir des centaine de mails par jour ou par semaine, juste parce qu’ils ont pris la carte de fidélité chez tel ou tel marque…
Bien d’accord avec ce commentaire.
Mais ça doit être difficile à règlementer, à l’instar de l’échec de Bloctel.
Il serait peut-ête bon de spécifier qu’il s’agit d’un informercial, totalement basée sur des données complètement fausses, et sponsorisée par une boîte dont le métier théorique est de nettoyer des mails, mais qui en profite pour revendre les mails à d’autres boîtes qui envoient du spam ? Non ?
C’EST UNE PUB. FAUSSE.
non désolé ce n’est pas le cas.
Et allez encore l’internet-bashing malhonnête… Car il n’est JAMAIS mentionné les émissions de CO2 EVITEES par le numérique!
Avant le dématérialisé, on utilisait le matérialisé… qui LUI AUSSI pollue, et ce surement plus que le numérique.
– Le streaming? Avant on utilisait des CD et DVD NON RECYCLABLES… qu’il fallait produire avec du pétrole, les transporter, les stocker dans des magasins (qu’il faut chauffer et éclairer).
– Les emails? Avant on éditait du papier à usage unique qu’il fallait produire, transporter…
– Le contact avec les administrations? Avant on devait se déplacer physiquement (en voiture) dans des locaux chauffés et éclairés…
Et ce toujours sans mentionner le fait que les serveurs professionnels sont optimisés énergétiquement, qu’ils sont TOUJOURS recyclés, qu’ils sont conçus pour durer,…
Ces études sont NULLES car elles ne mentionnent pas les émissions EVITEES par le numérique.