Si vous êtes épileptiques, réfléchissez-y à deux fois avant de lancer Cyberpunk 2077. En effet, le jeu qui mise beaucoup sur l’esthétique saturée et oppressante de la ville de Night City serait un environnement particulièrement propice au déclenchement de crises. Une expérience vécue malgré elle par la journaliste Liana Ruppert de chez Game Informer, après avoir été en contact visuel avec “les clignotements rapides de lumières, notamment les rouges et blanches”. Après avoir décrit les nombreux bars et boîtes de nuit du jeu, ainsi que les interactions avec le personnage de John Silverhand comme des “zones de danger”, la jeune femme explique finalement avoir subi “une crise majeure”, ainsi que plusieurs autres débuts de crise latente.
Thank you for bringing this up. We’re working on adding a separate warning in the game, aside from the one that exists in the EULA (https://t.co/eXpPn73VSK). Regarding a more permanent solution, Dev team is currently exploring that and will be implementing it as soon as possible. https://t.co/lXFypnSit2
— Cyberpunk 2077 (@CyberpunkGame) December 8, 2020
Dans son article, Liana Ruppert explique également avoir été particulièrement sensible aux scènes de Braindance, des séquences de jeu particulièrement mises en avant par CD Projekt Red. Elles permettent aux joueurs d’interagir avec les souvenirs des autres personnages. Une situation particulièrement problématique pour les joueurs souffrants de crises d’épilepsie, mais que les développeurs entendent bien solutionner “dès que possible”. Ainsi, le studio a expliqué qu’il entendait ajouter un avertissement supplémentaire relatif aux risques d’épilepsie dans les prochains patchs de mise à jour qui seront déployés après la sortie de son titre cyberpunk. De leur côté, les équipes de développement ont confirmé travailler sur une solution efficace et permanente pour régler le problème. En attendant, Liana Ruppert conseille aux joueurs qui souhaitent quand même lancer le jeu de prendre quelques précautions : se préparer calmement aux cinématiques, voire éviter de les regarder directement, et rester en présence d’un proche qui pourra intervenir en cas de crise.
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