Anciennement connu sous le nom d’Ellen Page, c’est désormais en tant qu’Elliot Page qu’il faudra désigner l’interprète culte de Juno et Bliss. L’acteur canadien a en effet fait son coming-out trans et non binaire sur les réseaux sociaux il y a quelques heures, au travers d’un long message posté sur Twitter, Instagram et Facebook. “Je veux partager avec vous le fait que je suis trans, commence l’intéressé. Mes pronoms sont il/iel et mon nom est Elliot. J’aime le fait d’être trans. Et j’aime le fait d’être queer. (…) La vérité est que, même si je suis profondément heureux en ce moment, j’ai peur des intrusions, de la haine, des ‘blagues’ et de la violence”.
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Après un premier coming-out en 2014 lors duquel ce dernier avait révélé être attiré par les femmes, Elliot Page était rapidement devenu un porte-parole de la communauté LGBTQ+ aux États-Unis. Il a régulièrement accusé le gouvernement Trump de pratiquer une politique intolérante et homophobe. En 2016, l’acteur avait campé l’un des rôles-titres de Free Love, mettant en scène le combat d’un couple homosexuel pour la reconnaissance de ses droits, avant d’épouser la danseuse et chorégraphe Emma Portner en 2018.
On ignore encore quel tournant prendra la carrière cinématographique d’Elliot Page après cette annonce. Après avoir campé le rôle féminin de Kitty Pryde alias Shadowcat dans les blockbusters X-Men : L’affrontement final (en 2006), puis X-Men : Days of Future Past (en 2014), l’acteur est depuis 2019 à l’affiche de la série Netflix Umbrella Academy, dans laquelle il incarne le personnage de Vanya Hargreeves, surnommée la Viole Blanche. Côté jeux vidéo, on se rappelle également de sa prestation dans l’excellent Beyond Two Souls de Quantic Dreams, où l’acteur jouait le rôle de Jodie Holmes. On peut espérer le voir à l’avenir incarner également des personnages masculins ou non binaires à l’écran.
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Le non binaire, c’est pour quoi?
C’est qu’iel ne se sent pas plus un homme qu’une femme et qu’il ne colle donc pas à cette vision binaire du genre. Et pour nous forcer à utiliser un néologisme pour le désigner : iel.
PUT AIN MAIS ON S EN BR ANLE DE VOS CONN ERIES DE FRAGILES SNOWFLAKES ETC
Journal du GEEK, du GEEK pu tain de bor del de mer de
excellent
Décision courageuse. Que de l’annoncer et de le revendiqué. Tout mon respect à Eliott. Peu importe les conservateurs. On s’en branle de ce que pense ces gens du 19e. Si c’est pas comme eux, c’est pas normal. Surtout dans le milieu Geek/Gaming, un des milieux les plus conservateurs sur ces sujets. 😊
Quel commentaire de fragile ahah
Une news people concernant une personnalité bien ancrée dans la pop culture , que ce soit à travers les jeux vidéos ou les films, a au moins autant sa place qu’un article annonçant l’arrivée de la 5G dans telle ville ou un autre parlant de la création de lignes de vélos à côté du RER , mais on t’y vois pas faire ton Trump à coup de majuscules ^^
Si seulement les gens qui s’en “br anlent” d’un sujet se contentaient de l’ignorer, ce qui est a priori le comportement sain et logique à adopter à moins de vouloir à tout prix pleurer, ça donnerait beaucoup moins de visibilité à ce genre de sujets justement !
Félicitations , tu fais vivre ce genre de news et tu encourages la rédaction à en produire autant que possible, pigeon 🙂
#jemenbaslescouilles tant qu’elle donne ce pour quoi elle a été engagée et que ca me plait… le reste n’a que peu d’importance et se perd en circonvolutions inutiles… je hais le blabla si cher à notre époque social-médiatisé
Et pourtant elle viens de se définir en Elliot c’est bien binaire, c’est obligatoire vis à vis de la loi pour l’administration.Donc clairement pas d’accord avec l’article.Elle a joué dans inception aussi, quel gâchis au final.
Je suis déçu quand même de cet état de fait, va t’elle aller jusqu’au bout maintenant avec des hormones d’homme pour faire plus masculin et faire disparaître ses seins et se payer un pénis.Sinon celle ci restera une femme s’appellant Ellen pour moi.On ne peut pas jouer sur les deux tableaux. Dans un couple homosexuel il y a toujours un qui joue l’homme et la femme peut importe le sexe, etc , et même chez les trans d’ailleurs.Mais psychologiquement dans sa tête, elle ne doit pas être si bien que cela, elle est indécise je dirais, le temps la décidera sûrement.
Commentaire de fragile mdr, tu connais l’expression “pot calling the kettle black”? j’ai arrété la lecture là, tu ne mérites pas plus de mon temps, ce serait tout à fait futile, presque autant que tes interventions ici l’ami 🙂
Toujours aussi inutiles tes commentaires, j’ai vu plusieurs personnes te le faire remarquer dans les commentaires, tu te fais décidemment égal à toi-même.
Le FAIT est que ceci n’a rien à voir avec une thématique Geek, n’en déplaise aux idiots utiles comme toi et ceux qui te mettent une icône positive mdr.
a+ dans ton commentaire réponse inévitablement idiot et apathique que je ne lirai pas, bisous.
Du 1 tu n’es forcé à rien (tu as même le droit d’être un ******* et de dire “elle” même si tu veux, juste, ne t’étonne pas qu’on te le fasse remarquer), de 2, il précise bien qu’on peut parler de lui en disant “he” (donc “il” en français), de 3 “iel” est peut-être un néologisme en français, sauf que le “them” dont il parle en anglais n’en est pas un.
Il mérite pas plus de ton temps mais tu prends quand même le temps de répondre… t’es pas très logique toi dans ton argumentation
C’est pas un peu contradictoire de dire “tu n’es forcé à rien” et “tu as le droit d’être un *********” ? Pour moi si. C’est une injonction à sous peine d’être catégorisé comme un gros ******* réac.
Perso je suis totalement OK avec le fait d’employer le pronom de destination de la personne trans, je suis pour que tout le monde soit bien dans sa tête et avec les autres. Donc c’est Elliot, et c’est “il”.
Par contre, faut voir aussi que des commentaires comme le tien sont vraiment malvenus, et ne font que confirmer ce que je disais dans mon message précédent : injonction à, sous peine de. Tu me fais l’effet du non binaire invité chez Arrêt sur Image qui a limite agressé les journalistes qui n’avaient pas la moindre idée de pourquoi la personne s’énervait.