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Lune : la NASA s’apprête à dévoiler une “découverte excitante”

La NASA dévoilera, le lundi 26 octobre à 18h, une nouvelle découverte concernant la surface de la Lune qui devrait influencer les futures missions Artemis.

Crédits : Nicolas Thomas / Unsplash.

Le lundi 26 octobre, à 18 heures (heure de Paris), l’Agence aérospatiale américaine (NASA) a promis d’annoncer une découverte inédite concernant la surface de la Lune. “Cette nouvelle découverte contribuera aux efforts de la NASA envers l’exploration spatiale”, déclare succinctement l’Agence dans un communiqué relayé par  Science Post. Tout ce que l’on sait pour le moment sur cette mystérieuse observation astronomique, c’est qu’elle a été réalisée à l’aide du télescope de l’Observatoire stratosphérique de l’astronomie infra-rouge (SOFIA). Celui-ci effectue des vols stratosphériques, à bord d’un avion Boeing 747 SP, afin d’étudier les ondes lumineuses infra-rouges à 12 000 mètres d’altitude pour éviter qu’elles ne soient cachées par l’atmosphère terrestre. Pour en savoir plus, la conférence de présentation de la découverte pourra être écoutée en direct sur le site officiel de la NASA.

Une découverte liée aux nouveaux Accords Artemis ?

La NASA assure, par ailleurs, que la découverte aura une influence sur la future mission Artemis III, qui vise à déposer un astronaute et une astronaute (la première de l’histoire dans ce domaine) sur la surface lunaire en 2024. Pour rappel, cette mission s’est inscrite, il y a peu, au centre des nouveaux Accords Artemis mis en place par le gouvernement américain afin d’introduire un cadre juridique de l’exploration spatiale. Si, jusqu’ici, l’humanité n’avait effectué que quelques aller-retours sur notre satellite, l’idée est aujourd’hui de s’y installer durablement et d’établir ensuite un pont vers la planète Mars.

Pour assurer que ce nouveau chapitre de la conquête de l’espace se déroule de manière “sûre, prospère et pacifique”, la NASA a demandé l’accord d’autres pays en vue de créer des “zones de sécurité” qui réguleraient l’extraction et l’utilisation de ressources extraterrestres notamment par des entreprises privées. Elle a en cela l’intention de mettre à jour ce que le Traité international de l’espace avait instauré dès 1967. Ce dernier interdisait, jusqu’ici, “l’appropriation nationale (notamment) par voie d’utilisation.” Les Accords Artemis ne comptent pour l’instant que huit signataires, en comptant leurs auteurs américains : l’Australie, le Canada, l’Italie, le Japon, le Luxembourg, les Émirats arabes unis et le Royaume-Uni. Ils ne comptent donc pas pour l’instant d’autres puissances de l’exploration spatiale comme la Chine, la Russie ou encore l’Allemagne et la France, pays parmi les plus impliqués au sein de l’Agence spatiale européenne (ESA).

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8 commentaires
  1. La NASA s’apprête à dévoiler une “découverte excitante” -> Pourquoi decouverte excitante entre guillement alors qu’à AUCUN moment il n’y a cette mention dans le tweet de la NASA? Ahh parce que p****click j’oubliais que j’étais sur le JDG :,)

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