Dès aujourd’hui, le port du masque est devenu obligatoire à l’extérieur dans certaines rues de Paris. La capitale française succède ainsi à Toulouse, Nice, La Rochelle ou encore Lille, en la matière, en vertu d’une augmentation du taux de contamination à la COVID-19 en Île-de-France. Dans un communiqué, la Ville de Paris indique que “près de 400 personnes sont chaque jour testées positives à la COVID-19”, précisant que “le taux de tests positifs, s’établit aujourd’hui à 2,4 % en Ile-de-France contre 1,6 % en moyenne nationale.” Depuis 8h ce matin du 10 août, et ce (au moins) pour une durée de un mois, toutes les personnes de 11 ans et plus devront se munir d’un masque dans les rues à forte fréquentation (recensées sur une carte ci-dessous) ainsi que dans les marchés publics, les brocantes et vide-greniers, certaines rues commerçantes, zones piétonnisées, voies et berges. “Le non respect de cette obligation dans les zones concernées sera passible d’une amende de 135€”, prévient la municipalité.
“Lutter contre la canicule et porter un masque pour lutter contre la maladie”
Selon les dires du virologue et membre du Conseil scientifique, Bruno Lina, interrogé par le journal La Croix, une rue étroite où la population est dense et le vent inexistant peut devenir l’équivalent d’un espace confiné. Pour rappel, c’est dans ce contexte que le coronavirus SARS-CoV-2 se transmet le plus et où le port du masque reste impératif, afin de ne pas éventuellement le propager sans le savoir. En effet, d’après une lettre écrite à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en juillet dernier par une équipe de plus de 200 chercheurs d’une trentaine de pays, le virus serait bien mieux aéroporté qu’on ne le pensait auparavant. Ses particules virales peuvent survivre aussi bien dans de grosses gouttelettes liquides, tombant au sol après un éternuement ou une quinte de toux, que dans des plus petites et légères, capables de se maintenir quelques instants en suspension dans l’air. La COVID-19 peut être contractée simplement après avoir adressé la parole à un malade dépourvu de masque. Par ailleurs, en cette période de canicule estivale où l’impression de suffoquer et d’étouffer est permanente, Isabelle Bonmarin, responsable de l’unité de prévention des risques infections et environnementaux à Santé Publique France, soulignait précédemment la nécessité de “convaincre les gens à la fois de lutter contre la canicule et de porter le masque pour lutter contre la maladie.”
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Je n’ai rien compris a la dernière phrase : on choisit entre la peste et le choléra ? On menage la chèvre et le chou ? On déshabille Pierre pour habiller Jacques ? 😅
Ah il semble que le virus ait peur de traverser certaines rues… Aurait-on là une possible solution pour le combattre ???
donc on eut en conclure que Bruno Lina est payé en parti par GILEAD. mais il faudrait expliquer a cette idiot quand France on ne peux imposer le port du masque que durant une urgence sanitaire (fini depuis le 10 juillet minuit ..). autre petite chose la loi 2010-1192 stipule qu’il est interdit de circuler dans les rues ou magasin en ayant le visage couvert (150 euros d’amende……). donc je respecterais la seul LOI en vigueur en France…n’en deplaisse les GILEAD et consort 50 millions déjà d’encaisser avec les masques, ça ne leur suffit pas????
Il n’y a pas “une seule loi en vigueur” en France mais tout un corpus législatif. Une loi parue au journal officiel entre en vigueur dès le lendemain et s’applique à tous les français, sauf dispositions contraires. Toutes les lois parues au Journal officiel (toutes consultables, sans aucune exception, sur Legifrance) ont donc été à un moment ou à un autre en vigueur en France et ça représente sans doute plusieurs milliers de lois.
Par ailleurs, la loi 2010-1192 (qui visait en vérité de façon très hypocrite le port du voile) prévoit ceci : “L’interdiction prévue à l’article 1er ne s’applique pas si la tenue est prescrite ou autorisée par des dispositions législatives ou réglementaires, si elle est justifiée par des raisons de santé ou des motifs professionnels, ou si elle s’inscrit dans le cadre de pratiques sportives, de fêtes ou de manifestations artistiques ou traditionnelles.”
Les dispositions entrées en vigueur concernant le port du masque pour des raisons de santé n’entrent donc pas en opposition avec cette loi.
Enfin, quand on estime qu’une loi est illégale (ce qui peut arriver), c’est le Conseil d’Etat qu’il faut saisir. On ne décide pas tout seul qu’une loi ne s’applique pas, ce sont les juges qui en décident.
Laissez, steph fait partie de ces esprits libres qui refusent l’oppression et revendiquent leur liberté par ce geste hautement subversif qui consiste à ne pas porter de masque, et à grommeler dans sa barbe…
Un certain nombre ne va pas rire cet hiver, Grippe + Covid, ceux qui ne portent pas le masque vont morflé sévère, soit dit en passant, je travaille en centre hospitalier, 11 personnes en réa, une personne de plus 60ans, les dix autres ont moins de 30ans et au moins six auront des séquelles irréversibles, respiratoires, rénals, et cardiaques… La vie n’a pas de prix, j’ai vu beaucoup trop de gens mourir, protégez-vous ****** !!
“…a cette idiot quand France…”
==> qu’en France!
Là, on se demande qui est l’idiot ^^
Pourquoi les “rebelles” on les entends que lorsqu’il s’agit de ne pas obéir à une mesure d’utilité publique ?
Aucun élément sérieux ne démontre la nécessité, ni même l’utilité, du masque dans la rue.
Quelques médecins courageux le disent. Pas ceux du “Conseil Scientifique” qui vont à la soupe.
Monsieur Castex, ******* petit fonctionnaire zélé au service de son patron, en fait opportunément son cheval de bataille.
(Je précise qu’il y a des fonctionnaires que je respecte).
On a tellement ****** les français que, parait-il selon certains sondages, 80% d’entre eux y sont favorables !
Je ne porterai pas le masque dans la rue. Je ne crains pas trop l’amende de 135 euros (avec les radars, j’ai l’habitude…), mais bien davantage les réactions outragées de mes concitoyens, et d’ailleurs le gouvernement joue là-dessus comme sur du velours.
J’entends certains responsables (?) dire: “c’est le principe de précaution”.
Dans ce cas, il faut porter un scaphandre, partout, tout le temps, jusque à la fin des temps…
Contrairement à tout ce qu’on raconte, la situation n’est pas celle du mois de mars, mais alors pas du tout.
Le nombre de cas détectés en mars, c’était quoi ? Juste les gens au seuil de la mort ! Alors, tant mieux s’il y en a davantage aujourd’hui.
Dernier exemple en date du mensonge du discours officiel, lundi soir: “14 décès en 24 heures”.
Il n’y a jamais de chiffres communiqués au cours du weekend, et la réalité c’est 14 décès en 72 heures, soit moins de 5 par jour.
Une épidémie se mesure, en fin de compte, au nombre de décès.
Donc, on n’est plus du tout au mois d’avril.
Je dénonce cette culture irresponsable du risque zéro qui oublie les effets secondaires. On verra un jour à quel point cette gestion lamentable du problème aura détruit l’économie, et bien davantage la société française.
J’adore les astérisques qui effacent m#nable et abru#i !
Les virologues ne peuvent pas justifier le port du masque en plein air ! Cette mesure est surtout politique, visant à montrer qu’on s’occupe du problème… alors qu’on laisse les fêtards se rassembler dans les arrières salles des bars ou dans des raves parties (c’est vrai qu’il faut pas les stigmatiser ces pauvres chéris) ! Le rapport bénéfice/nuisance d’une telle nuisance a t-il été évalué ? Parce qu’à ce rythme, on va aller jusqu’à quoi ?