Passer au contenu

Dagoma donne une seconde vie aux jouets grâce à l’impression 3D

Quarante millions de jouets sont jetés par les français chaque année, faute de pièces détachées. Face à ce constat, Dagoma a décidé d’agir en créant la plateforme Toy Rescue, regroupant des centaines de pièces détachées des jouets les plus vendus, modélisées et imprimables en 3D.

Avec la plateforme Toy Rescue, Dagoma a ciblé les pièces les plus fragiles des jouets les plus vendus des 40 dernières années, les a modélisées et met en ligne des centaines de pièces imprimables en 3D. Participative, la plateforme agrandira sa base de données avec le temps.

 

Pour les personnes ne disposant pas d’une imprimante 3D, ou ne trouvant par la pièce recherchée, la plateforme permet d’envoyer des demandes d’impression ou de modélisation à la communauté de makers Dagoma.

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

6 commentaires
  1. Je pense que l’impression 3D n’est pas encore suffisamment démocratisée pour que ça marche.

    Qui va s’embêter à chercher, puis imprimer une pièce d’un jouet cassé alors que pour quasiment le même prix il pourra commander le jouet neuf sur amazon et le recevoir le lendemain ?

    1. Le principe c’est de partager les fichiers de modélisation. Si tu possèdes une imprimante 3d, ça ne coûte rien (à part l’elec et le filament)

      1. Ce que je veux dire, c’est que ce site est apparemment destiné à monsieur tout le monde. Or l’impression 3D ne l’est pas encore.

        Monsieur tout le monde va rarement se casser le luc à contacter un maker et lui envoyer des photos de son jouet cassé pour qu’il lui envoie une pièce de rechange “à moitié correcte”, alors qu’il peut souvent racheter le jouet complet bien plus facilement pour un prix similaire.

        1. Dans les faits tu as probablement raison, sauf qu’en l’absence de solution de ce genre, tu ne peux que avoir raison … et ca serait bien dommage.
          De plus, si clairement pour un petit jeu banal, personne ne va s’embêter à le réparer, dans le cas (pour reprendre les exemples de la vidéo), d’un GameBoy ou même d’une figurine introuvable, ca peut être la seule solution existante.
          Bref, c’est pas parce que les gens sont c** et préfèrent continuer de détruire la planète (tout en pleurant auprès des gouvernement qu’il faut faire dans l’écologie) qu’il ne faut pas mettre en place un maximum de solutions alternatives.

          1. Ah mais attention, ça fait 4-5 ans que je rêve que l’impression 3D se démocratise enfin !

            C’est malheureusement encore trop complexe, trop peu fiable, trop cher et trop lent que pour qu’on trouve des imprimantes 3D au supermarché du coin…

            Mais vous avez raison, même imparfaites, il faut multiplier les alternatives

          2. Ayant plusieurs imprimantes 3D, moi aussi j’aimerai que cela se démocratise.
            Et clairement je trouve que ca à fait déja pas mal de chemin en terme de matériel … aujourd’hui, une bonne imprimante 3D se trouve pour 1000€ (Zortrax, Ultimaker) … alors certe, ca reste une somme, mais c’est loin des débuts … et puis il est toujours possible d’avoir un résultat honnête avec certaines imprimantes vraiment bon marché (moins de 300€ en kit … et quelques heures de réglage ^^)
            Après, le principal problème est que tout le monde n’est pas ingé ou suffisamment passionné pour créer des modèles 3D. C’est pourquoi ce genre d’initiatives sont à mon sens super importantes, disposer de banques de données de modèles 3D pour des objects du quotidien (et pas seulement pour imprimer des bibelots) est la véritable voie à la démocratisation des imprimantes 3D

Les commentaires sont fermés.

Mode