Une page se tourne chez les GAFA. Après le départ de Jony Ive, le célèbre designer d’Apple, voilà qu’une nouvelle figure emblématique de la Silicon Valley quitte à son tour la société qu’il avait cofondé, et pas des moindres : Larry Page, cofondateur de Google et directeur général, quitte le groupe Alphabet. Fondateur historique du géant qu’est devenu Google avec Sergey Brin il y a 21 ans, Larry Page quitte désormais l’entreprise et vogue vers d’autres horizons. Il laisse Sundar Pichai, actuel boss de la firme de Mountain View, tenir seul les rênes de l’entreprise et ses quelques 100 000 employés à travers le monde.
Dans un message publié sur le blog de Google, les deux fondateurs de l’entreprise, Larry Page et Sergey Brin, qui quitte lui aussi son poste de président, se fendent d’un message pour expliquer en partie les raisons de ce départ : « Si l’entreprise était une personne, ce serait un jeune adulte de 21 ans et il serait temps de quitter le nid. […] Même si cela a été un immense privilège d’être profondément impliqués dans la gestion quotidienne de l’entreprise pendant si longtemps, nous pensons que le temps est venu d’assumer le rôle de fiers parents, offrant des conseils et de l’amour, mais pas une surveillance quotidienne lancinante ! »
Ce départ n’est toutefois pas une surprise, dans le sens où Larry Page s’est peu à peu détaché de l’entreprise. Ainsi, depuis 2013, le cofondateur de Google n’assistait plus aux lancements de produits, et ratait systématiquement les conférences téléphoniques dédiées aux résultats trimestriels de la firme, rappelle Les Echos. Celui qui créait Google il y a 21 ans a peu à peu perdu son intérêt pour la gestion, déléguée à Sundar Pichai, afin de se consacrer à la R&D de l’entreprise. Pour autant, celui-ci passait le plus clair de son temps hors de l’entreprise, sur son île privée des Caraïbes et semblait alors se passionner pour des projets hors de Google, dont notamment des start-up de voitures volantes.
Malgré son départ, Larry Page reste toutefois membre du conseil d’administration de la maison mère Alphabet, tout comme Sergey Brin. Les deux restent également actionnaires du groupe, et pourront tout de même participer au futur de l’entreprise qu’ils ont fondée, même si le pouvoir décisionnel reviendra à Sundar Pichai. « Sundar apporte de l’humilité et une grande passion pour la technologie à nos utilisateurs, à nos partenaires et à nos employés au quotidien. (…) Nous n’aurions pas pu trouver mieux pour mener Google et Alphabet vers l’avenir. » Une page se tourne.
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“De l’entreprise qu’ils ont fondéÉ” et non “qu’ils ont fondéS”
En fait non, “qu’ils ont fondé” car après avoir, le participe passé ne s’accorde pas.
et hop ça dégage !
Faux ! Ça dégage aussi…
En fait si. C’est bien “L’entreprise qu’ils ont fondée”. Le participe passé s’accorde avec le COD s’il est placé avant l’auxiliaire avoir.
Ça me fait toujours rire de voir la condescendance de certaines personnes (Casore) alors qu’elles se trompent…
Merci Yuri d’avoir expliqué à Casore cette règle de grammaire 😉
Casore, tu ferais mieux de revoir les règles basiques de grammaire… C’est toi qui passe pour un teubé là :p
à la rigueur, tu (Casore) n’aurais pas dû mettre “et hop ça dégage”. Quand tu amènes une correction, le minimum, c’est d’en avoir aussi.
Il y a accord si le complément d’objet direct est placé avant le verbe. Dans ce cas fonder s’accorde avec entreprise.
Casore le donneur de leçons qui passe pour un con !
“Une page se tourne chez les “GAFA”” Non. Seulelement chez Google / Alphabet.
Quel rapport avec la démission du designer de chez Apple ?