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Un homme atteint de la pathologie du “Joker” salue la performance de Joaquin Phoenix

Atteint de la même maladie qu’Arthur Fleck dans le film Joker, Scott Lotan fait l’éloge de la performance de Joaquin Phoenix.

Depuis la sortie du film Joker de Todd Philipps dont le succès est immense, Joaquin Phoenix a reçu une pluie d’éloges pour sa performance. L’acteur “incarne à la perfection ce personnage en marge de la société, toujours en décalage avec le monde, un pas à côté des normes. Le jeu de l’acteur illustre à la perfection cette caractéristique marquante d’Arthur Fleck”, écrivions-nous d’ailleurs dans notre critique.  Mais la prestation de l’acteur n’a pas été saluée que par les critiques ciné. Un Américain de 47 ans, Scott Lotan qui souffre de la même maladie que le personnage d’Arthur Fleck a ainsi fait un éloge appuyée de la performance de l’acteur.Atteint de cette maladie rare et peu connue appelée le syndrome pseudo-bulbaire, Scott Lotan indique ainsi dans une interview à LADbibble : “c’était comme se regarder dans un miroir”.

Selon Scott Lotan, l’acteur montre avec brio cette incapacité de s’arrêter de rire, peu importe les circonstances” avec laquelle il doit vivre au quotidien. Il explique dans l’interview que ces longues crises de rire sont incontrôlables “Il arrive qu’on me demande de quitter un bar ou un restaurant car le personnel est mal à l’aise (…) Le regard des gens est vraiment pesant au quotidien. On essaye d’expliquer mais ils ont souvent tendance à vous étiqueter comme drogué ou fou dangereux. Je pense que l’acteur montre très bien ce sentiment d’isolement et de frustration que l’on ressent face au manque de compréhension des gens” Ce témoignage permet de mettre en lumière la vérité d’une maladie particulièrement handicapante et de mesurer encore une fois le talent de l’acteur. 

Pour ceux que le sujet intéresse, le psychiatre Jean-Victor Blanc, dont l’ouvrage Pop et psy vient de sortir, participera à une conférence au MK2 Beaubourg à partir du samedi 19 octobre, au cours de laquelle il analysera les comportements du personnage d’Arthur Fleck et la maladie du Joker.

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10 commentaires
    1. En même temps, des types qui sont payés à “donner” un avis qui est absolument personnel sur une oeuvre, franchement qui a besoin, envie de lire ça…
      Ils feraient de mieux de se demander de la pertinence de leur ‘travail’.
      Quand je pense que je cotise pour payer la retraite de ses arriérés, ça me rend malade rien que d’y penser.
      Toutes les affirmations faites dans leur “critique” accompagnées d’absolument aucune démonstration technique et uniquement basées sur leur propre perception ; qui est suffisamment débile pour se permettre de publier un torchon aussi contradictoire tant dans les propos que la méthode. Un ramassis d’inepties prétentieuses.
      Franchement, si je le pouvais, je leur chierai tous littéralement dans la bouche. 

      1. Taggel : En quoi ca t’importe que des critiques n’aient pas aimé ce film ? Tu as adoré, t’as besoin de l’aval de personne.

        1. “En même temps, des
          types qui sont payés à “donner” un avis qui est absolument personnel
          sur une oeuvre, franchement qui a besoin, envie de lire ça…”

          Je crois que c’est ce qu’il dit déjà plus ou moins implicitement.

          1. Sauf que ca ne devrait pas le toucher au point d’avoir envie de “leur ***** dans la bouche” 😛

      2. Taggel Je te rassure, tu cotises pour payer la retraite de personnes qui sont bien pire pour la société que les gens de France Inter.

  1. En espérant que France Inter clouront leurs becs et ne fermeront pas les yeux face aux réalités qu’il ne perçoive pas.

  2. Titre putaclick? On ne réduit pas le Joker à une “incapacité à s’arrêter de rire”! C’est une sorte d’hybride, de mélange de pathologies mentales qui n’existe pas dans la vie réelle, associées très certainement à des lésions du cortex pré frontal. La maladie de ce pauvre monsieur aux Etats Unis n’a rien à voir avec le personnage du Joker. Le seul point commun est le rire, c’est léger pour parler de “même pathologie”.

    1. Dans le film dont on parle ici, le personnage du Joker est atteint de cette pathologie. Donc euh… si en fait, on peut parler de “même pathologie”.

      1. Mais de quelle pathologie parlez vous? Est ce que vous avez bien lu mon commentaire ? S’il s’agit du rire, c’est un symptôme lié à des lésions cérébrales suites à un trauma, ce n’est pas une pathologie.

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