“Tranchez, équipez, et survivez”. The Surge 2 revient le 24 septembre prochain, et si le jeu promet déjà de reprendre la plupart des ingrédients phares qui ont fait le succès de la licence, l’action-RPG hardcore de Deck13 et Focus Home Interactive dévoile aujourd’hui un nouveau trailer de gameplay explosif. Au programme, de nouvelles armes, des environnements hostiles et gigantesques auxquels on n’a pas vraiment envie de se frotter, des boss tous plus menaçants les uns que les autres, et une flopée de nouveaux ennemis mortels à affronter.
Comme d’habitude, le système de loot est aussi gratifiant qu’original, puisque c’est en combattant et en démembrant ses adversaires qu’il sera possible pour les joueurs de récupérer leur équipement. Nouveauté de taille en revanche, c’est dans un univers bien plus grand et hostile qu’il faudra désormais évoluer. Baptisée Jericho City, le nouveau terrain de jeu de The Surge 2 s’annonce d’ores et déjà tentaculaire, jonchés de structures architecturales à l’abandon et de nanomachines dont l’activité principale est de se livrer à des chasses à l’homme sans pitié. Un chaos dans lequel il faudra survivre à partir du 24 septembre prochain sur consoles et PC.
À noter qu’il est déjà possible de précommander The Surge 2 depuis la boutique officielle au prix de 59,99€, afin de bénéficier de plusieurs bonus. Ceux qui préfèrent voir les choses en plus grand pourront toujours opter pour l’édition limitée du jeu, comprenant une bande dessinée inédite, un double poster et trois lithographies exclusives. Le tout pour le même prix, ce qui est assez étonnant avouons-le.
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The Surge 1 était pas mauvais du tout, + fun que les darksouls mes ******** que je déteste, grâce notamment à des combats bien + jouissifs (démembrements), un gameplay bien moins “je me la pète car je suis un grand maître japonais de la manette qui apprend à la dure mais qui a une petite quequette et des boutons partout sur la gueule” avec un système de “stockage” des xp et des idées innovantes par ci par là.
C’est pas parce que t’es mauvais qu’il faut dénigrer les amateurs des Dark Souls, le boutonneux complexé.