On y retrouve Brad Pitt dans le rôle de l’astronaute Roy McBride, en pleine mission de maintenance sur une structure verticale vertigineuse… qui va céder, suite à une mystérieuse anomalie nommée la Surcharge. A peine remis de son accident, il se verra confier une mission secret-défense, en lien avec de mystérieux travaux entrepris par son père (Tommy Lee Jones) vingt ans auparavant. Matériaux top-secrets extrêmement dangereux et formes de vie extraterrestre se mêlent dans ce qui semble être un sombre secret bien gardé par les responsables concernés. A Roy McBride de marcher sur les traces de son père pour découvrir ce qui se trame aux confins de notre galaxie… et pourrait bien menacer notre civilisation toute entière.
Au programme : des images de planètes à couper le souffle, des explosions interstellaires, des astéroïdes particulièrement menaçants ou même une course effrénée de buggies lunaires. Pour sa première dans le genre de la science-fiction après des films comme “La nuit nous appartient” ou “The Immigrant”, James Gray a tenu à proposer des images grandioses qui pourraient bien s’inscrire dans la lignée des space-operas les plus aboutis visuellement.
Un space opera alléchant
Avec un casting fourni, qui inclut également Donald Sutherland (JFK, Hunger Games, Path To War…) et John Finn (X-Files, Cold Case, NYPD Blue), il s’offre également quelques supports de choix pour porter son intrigue autour de Brad Pitt. Ce dernier sera très présent sur les écrans dans les mois à venir, puisqu’il sera également la tête d’affiche de Once Upon A Time in Hollywood de Quentin Tarantino, qui sortira en août prochain.
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Note pour le rédacteur : J’ai du mal à me faire à l’idée que l’on puisse qualifier Ad Astra de Space Opera. Interstellar, Gravity, …. ce ne sont pas des Space Opera pour moi.
Une oeuvre space opera a normalement énormément de background, un univers riche, une histoire très étalée dans l’espace et le temps. Star Wars, Star Trek, Dune, Stargate… là oui, ça prend sens.
Mais ce film ne m’a pas l’air du tout dans ce genre. Je trouve ça dommage de dénaturer ainsi ce qu’est le space opera…
C’est justement tout l’inverse je trouve, un space opéra c’est quelque chose se passant dans l’espace et qui mise tout sur le spectacle, sur le grandiose. D’où son nom, tu vas à l’opéra pour en prendre plein les yeux et les oreilles, dans 99% des cas on ne comprend pas ce que ça raconte ^^
“C’est justement tout l’inverse je trouve, un space opéra c’est quelque chose se passant dans l’espace et qui mise tout sur le spectacle, sur le grandiose.”
Euh en quoi c’est l’inverse de ce que j’ai dit ? ^^’
Je ne peux pas être entièrement d’accord en tout cas… Pour toi space opéra c’est espace + grand spectacle… Mais alors, sans parler du côté espace, prends John Wick ou Mission Impossible par exemple… c’est du grand spectacle aussi non ? J’ai du mal à considérer ça comme de l’opéra pourtant…
Donc oui, un space opera c’est du grand spectacle, mais il faut plus que cela… Il faut des peuples extraterrestres, des guerres, des enjeux politiques, romanesques, plein de vaisseaux etc.Pour moi l’opéra (le vrai) à la base c’est la mise en scène (en musique) d’une grande Histoire, d’une fable !
Réduire un space opera à un scenario simple, tenu par un ou deux vaisseaux, un ou deux personnages principaux, une seule intrigue, etc. je trouve ça dommage…
(et ça n’empêche pas que ces films soient très bons, j’ai adoré Interstellar par exemple)
Désolé, je ne sais pas si je partage bien mon ressenti sur la chose ^^
Le genre Space-opéra vient du livre de Jack Vance “Space-opéra”.
Du coup c’est wakkai qui a raison. Lisez Jack Vance pour comprendre.