Après le beau succès du précédent Godzilla, sorti en 2014, le second opus entend bien monter en puissance. Alors que le film de Gareth Edwards se jouait du spectateur en prenant tout son temps pour dévoiler la bête, cela devrait être totalement différent dans cette suite, prévue pour le 29 mai prochain. Cette ultime bande-annonce avant la sortie donne en tout cas le ton.
Le film de Michael Dougherty (déjà derrière la comédie horrifique Krampus) va confronter la célèbre bestiole à d’autres monstres mythiques. Parmi elle, le roi Ghidorah, une sorte de dragon à trois têtes, menace le monde de destruction. Alors que chaque bête veut sa part du gâteau, les humains vont devoir s’allier à Godzilla pour reprendre le contrôle de notre bonne vieille Terre, et sauver l’humanité au passage.
Alors que Godzilla Vs King Kong est déjà prévu pour 2020, ce nouveau long-métrage devrait déjà mettre en scène des joutes homériques entre des colosses plus haut que des buildings.
Un cauchemar d’architecte qui réunit malgré tout un casting de haut vol. On remarque en effet la présence de Millie Bobby Brown (Stranger Things), Vera Farmiga (Conjuring), Sally Hawkins (La Forme de l’eau), Ken Watanabe (Godzilla, Transformers) ou encore Kyle Chandler (Super 8). On ne sait pas tout ce que ce petit monde va bien pouvoir faire pour arrêter cette apocalypse, mais on a comme l’impression que la star de Stranger Things cultive une relation particulière avec ce prétendu roi des monstres… Plus qu’un mois à attendre.
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Au delà des qualités ou défauts des scénarios des films récents, il convient quand même d’avouer qu’aujourd’hui on a des films qui mettent de sacrées claques graphiques dans la gueule.
La post-production est devenue un élément capital pour les œuvres vidéoludiques de SF…
Quand on repense à certaines oeuvres d’il y a 15-20 ans, les progrès sont incroyables (sans vouloir dénigrer pour autant le travail fait à l’époque).
œuvres cinématographique, pas vidéoludiques (qui veut dire jeu video).
Et oui c’est impressionnant, par contre ils se reposent trop sur la CGI et si la qualité n’est pas au rendez-vous, on se retrouve avec les rhinos de Black Panther.
Il y a 15-20 ans, ils devaient se reposer sur des animatronics, des models miniatures et beaucoup de génie pour résoudre les casse-têtes que sont les effets spéciaux.
Oui c’est beau mais les facilités en Post-Prod font que les scénaristes se repose moins sur le scénario et il y’a moins de place pour les jeux d’acteur. Un film, pour moi, raconte d’abord une histoire et n’est pas qu’une série de séquence qui en jettent pleins les yeux. L’exemple que j’utilise souvent est Transformer 2 ou 3, je suis pourtant allé le voir en iMax espérant que le spectaculaire allait faire passer le tout facilement, rien n’y fait, même en iMax j’ai eu du mal à tenir jusqu’au bout XD
@mordu mordu : Oui tout à fait ! Merci pour la correction !