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Soul Calibur VI : mon retour à la saga culte après seize ans de pause

La dernière fois que j’ai joué à Soul Calibur remonte à 16 ans. Et mes sessions dessus n’ont pas été très longues. Mais le jeu m’avait laissé un très bon souvenir. J’étais donc ravi d’avoir l’opportunité de tester le nouvel opus de la saga culte.

Flash-back

C’est chez un ami, alors détenteur d’une Nintendo Gamecube, que j’ai pu essayer pour la première fois Soul Calibur 2 en 2002. De ce second opus, je ne me rappelle honnêtement pas grande chose, si ce n’est le design très charismatique de certains protagonistes et la fluidité du gameplay. Mon expérience vidéo-ludique de Soul Calibur 2 se limitait en effet à l’époque à affronter virtuellement mon camarade lorsqu’un de nos profs était absent et inutile de dire que cela n’arrivait pas tous les jours. Si je n’ai passé que quelques heures sur le jeu, il m’avait tout de même laissé un très bon souvenir. Pas question donc de passer à côté de l’opportunité de tester le nouvel opus de la saga de référence de mes années collège

Soul Calibur 2018

« Transcendant l’histoire et le monde, ce récit épique d’âmes et d’épées est éternellement raconté »

Alors que je lance sur ma console Soul Calibur VI, une cinématique m’informe de la mythologie à l’origine de la saga. J’apprends alors que l’histoire de la série débute avec une épée maudite du nom de Soul Edge. Une arme aux pouvoirs immenses capable de rendre maléfique l’âme de son possesseur. Son attraction est cependant telle que bien des hommes partent à sa recherche pour se l’accaparer tel le Graal de la légende Arthurienne. Un point de départ mythique, qui revient aux sources du premier jeu sous la forme d’un reboot et que les deux modes Histoire de Soul Calibur VI vont bien entendu explorer. C’est aussi un choix plutôt malin : les fans de la saga apprécieront très certainement les référence aux précédents épisodes et les novices, comme moi, pourront plus facilement pénétrer dans l’univers foisonnant du jeu.


J’ai d’abord été surpris par la richesse de Soul Calibur 6 avec ses différents modes solo mais j’ai vite été saisi par le gameplay du jeu. Fluide et facile d’accès, celui-ci m’a tout de suite plongé dans des affrontements épiques où les attaques s’enchaînent dans des chorégraphies somptueuses. Les coups et les combos sont nettement plus spectaculaires qu’à l’époque de Soul Calibur 2 et la mise en scène est plus travaillée. En seize ans, le jeu s’est énormément amélioré sur le plan graphique et nous emmène dans des décors dépaysants et grandioses sublimés par l’Unreal Engine 4.

Un casting 4 étoiles

Le fait de retrouver certains protagonistes seize ans après ne m’a pas non plus laissé insensible. Revoir Nightmare, ce colosse qui combat avec une gigantesque épée, ou l’effrayant Voldo avec ses lames formant une extension de ses doigts à la manière d’un Wolverine, était une véritable madeleine de Proust pour le joueur que je suis.

Il m’a par ailleurs été possible de créer mon propre personnage dans l’un des deux modes solo du titre. J’ai commencé par élaborer une sorte de guerrier aux cheveux blonds et courts, à moitié torse nu et équipé des poignards de Voldo avant de radicalement modifier mon choix et de donner vie à une momie anorexique munie d’une hache. J’aurais également pu créer, dans le désordre, un revenant, un infecté, un homme-lézard ou encore une âme déchue à cornes. Bref, vous l’aurez compris, tout, ou presque, est ici possible en matière de personnalisation.

Pour finir, en temps que grand fan de The Witcher, je me devais forcément de tester, manette en main, le personnage de Geralt de Riv. Figurant parmi les grandes nouveautés de ce nouvel épisode de la même manière que Link à l’époque de Soul Calibur 2 sur Gamecube, ou que Yoda et Dark Vador dans l’épisode suivant disponible sur Playstation 3 et Xbox 360, le Sorceleur s’est avéré être à la hauteur de mes attentes. Outre le charisme naturel du héros, je retiendrai tout particulièrement sa jouabilité tout en souplesse et ses coups spéciaux aussi spectaculaires qu’élégants. L’utilisation de la musique à la fois épique et enchanteresse de The Witcher 3 aura achevé de me convaincre.

Verdict

A l’arrivée, ce Soul Calibur VI s’avère être un excellent jeu de combat accessible à tous, qui réussira probablement à contenter les fans de la première heure, les nouveaux arrivants ou encore ceux qui, comme moi, ‘‘connaissaient’’ la saga sans l’avoir pratiquée depuis des années. Autant dire que pour quelqu’un qui n’attendait pas nécessairement ce sixième volet, j’ai été plus que surpris. Et pleinement satisfait, avec un goût de reviens-y qui ne trompe pas.

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7 commentaires
  1. Aucun points négatif ? A non, c’est pas un test, c’est une “Publication Partenaire”.

    Perso j’ai joué au jeu hier, j’ai détesté, j’ai trouvé que c’était une grosse daube + la politique des personnages en DLC est ignoble.
    Franchement je le déconseille fortement.

  2. L’auteur n’a pas touché un Soul Calibur depuis 16 ans et attendait pas grand chose du jeu de son point de vue ces probablement un bon jeu, après pour les DLC malheureusement plus aucun jeu n’est conçu sans prévoir des DLC est encore le casting de base est très satisfaisant surtout si on compare avec le 5 et tout ces personnage random, et enfin pour finir et ce n’est que mon point de vue après une seul semaine de test, le jeu est pour l’instant plutôt bon malgré certaines mécaniques que je trouve mal conçues pour l’instant.

  3. J’ai commencé à lire quelques lignes, me suis dit que ça clochait. Suis remonté au titre et je vois “Publication Partenaire”. C’est moche

  4. C’est pas sensé etre TRÈS visible quand un “article” est en fait une pub ?
    Heureusement que j’ai jeter un œil aux commentaire avant de lire ça, merci GuiGui, tu m’a évité de perdre 15 minutes de mon temps a lire des bullshit.

  5. J’ai détesté.J’était un acharné de Soulca3 et j’avais pas touché à la licence depuis.
    J’ai lancé Soulca6 et à partir de la la ça n’a été que déception.°Le jeu se lance°
    -> L’intro est franchement pas ouf. D’habitude l’intro des jeux de combat c’est la hype, là franchement on s’ennui un peu. Pas grave, je fini de la regarder.
    °SOULCALIBUR 6° -> La hype revient un peu
    -> On arrive au menu et la c’est franchement austère. Pas grave mais bon c’est le premier truc qu’on voit du jeu et là on se croirait en 1996…
    -> Allez je lance le mode histoire -> La même cinématique que celle de l’intro se lance… Sérieux ? celle que je viens de finir de regarder il y a 15sec ?  Je passe. Et la le mode histoire le plus CHEAP de l’histoire des modes histoires. Franchement 5H d’illustrations (certaines jolies, d’autres beaucoup moins…) fixes de personnages qui discutent c’est la MORT. C’est censé être un jeu-vidéo, pas un jeu-illustration… Je reste quand même 15min à écouter Kilik et sa copine discuter (Olala les ténèbres prennent le contrôle du monde, vite détruit la source des ténèbres… SUPER ORIGINAL ).
    -> Et la BOUM premier combat. Bon c’est assez moche, mais j’avais lu les tests, je m’y attendait. Voyons plutôt le gameplay. Je retrouve vite mes automatismes, c’est cool, ça se passe pas mal… et la BOUM au milieu du combat : Le combat se stop et lance un mini-jeu pierre-papier-ciseau  WTF le Reversal Edge je trouve ça IGNOBLE. Stopper le combat pour me faire faire un Shifumi c’est NON MERCI.
    -> Les premiers combats s’enchaîne c’est 1min30 de combat, 20min d’illustration fixes qui discutent d’une histoire chiante comme la pluie. J’ai essayé de me forcer à suivre mais j’ai pas réussi. C’était vraiment beaucoup trop ennuyant. Du coup j’avance un peu dans l’histoire et au bout d’un heure à m’ennuyer j’abandonne. C’était une heure bien ****** />-> J’ai envie de tester le combat pour de vrai, je me lance un petit mode arcade. J’enchaîne les combats sans grande excitation, j’en ai déjà marre de ces mini-cinématiques qui coupent le combat tout le temps. Les stages sont moches, les animations sont parfois un peu pourries (le bâton de Kilik qui vole à 20cm de ses mains on en parle ) et franchement je m’amusais autant voir plus en 2005 sur PS2.
    -> La création de perso c’est pas trop mon truc mais je teste quand même le mode “histoire2”. La création de perso est un calvaire (pas de prévisualisation des coupes de cheveux pas exemple ?). Et c’est reparti pour des heures d’illustrations qui discutent entre elles entrecoupé par des combats contre des persos custom moches… J’abandonne, Alt+F4.Alors je pense qu’a 2 dans un canap avec des bières ça peut être cool. Mais sinon le jeu il est vraiment trop CHEAP. Pour 15€ dans un magasin Cash (dans 2 mois quoi…) pourquoi pas mais à 60€ (+ les DLC  ) c’est pour moi une énorme douille.Voila, c’était mon expérience.
    J’ai détesté.

  6. Bon en effet si tu viens du 3, sa doit te faire bizarre et je trouve également que les reversal edge son un cancer mais quant ta fait le  4 et surtout le 5 tu te dit qu’il est pas si mal mdr

Les commentaires sont fermés.

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