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Downrange : le tueur fou de ce film vous fera passer l’envie de tenter le coup de la panne

Une panne de voiture dans le désert… il n’en faut pas plus au japonais Ryuhei Kitamura pour élaborer un thriller d’horreur époustouflant. Servi par une mise en scène virtuose, le film parvient à rendre les grands espaces américains plus oppressants que jamais.

Tomber en rade en plein désert à cause d’un pneu crevé… La journée de ces six étudiants en covoiturage n’avait pas très bien commencé. La crevaison va cependant vite devenir le cadet de leur souci lorsqu’ils s’aperçoivent qu’un tueur fou les a pris pour cible. Ils sont seuls. Sans défense. Le jeu de massacre peut commencer…

Avec Downrange, Ryuhei Kitamura signe un film-choc acclamé dans tous les festivals du genre. On en attendait pas moins d’un réalisateur à la tête d’une telle filmographie. Après un premier long-métrage remarqué (Versus), le japonais s’est en effet rapidement attaqué à des films d’envergure tels que le mythique Godzilla : Final Wars (2004) produit pour le cinquantenaire de la franchise du studio Toho.

Il déploie également tout son talent dans The Midnight Meat Train, un film d’horreur de haute volée dans lequel un photographe obsédé par les pires aspects de l’homme (Bradley Cooper) se met sur les traces d’un tueur en série. Le réalisateur qui travaille actuellement sur le thriller The Doorman avait également dirigé Luke Evans en 2012 dans le stupéfiant slasher psychologique No One Lives.

On retrouve la patte inimitable de Ryuhei Kitamura dans Downrange. Servi par une mise en scène virtuose, le film parvient à distiller, dans un univers ouvert, une atmosphère oppressante de huis-clos. Vous hésiterez sans doute à reprendre vos clés de voiture après ces 90 minutes d’angoisse.

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3 commentaires
  1. Euh, je crois qu’on n’a pas vu le même film. Je viens de le visionner et, sans spoiler, je vous donne mon avis global en quelques mots :
    – de (très) grosses lenteurs à mourir…d’ennui 
    – des effets spéciaux façon série B (ouh le beau sang couleur framboise)
    – un scénario étendu sur une feuille de papier à cigarettes
    – des acteurs tout droit sortis d’une série espagnol de Gulli
    – une fin qu’aurait presque pu jouer Pierre Richard (attention j’aime beaucoup cet acteur, mais que     viendrait-il faire dans ce genre de film…)

Les commentaires sont fermés.

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