Alors que l’ultime bande annonce de Jurassic World : The Fallen Kingdom a été diffusée il y a peu sur YouTube, Steven Spielberg s’est récemment exprimé sur le contenu du film mis en scène par Juan Antonio Bayona. Et on peut dire que le réalisateur de Ready Player One parait particulièrement enthousiaste quant au résultat final. Dans des propos révélés par Entertainment Weekly, le cinéaste a déclaré ceci :
“Le film possède un troisième acte effrayant, qui est délicieux et extraordinaire. Juan Antonio sait comment créer l’horreur, mais il sait aussi comment l’orchestrer, donc vous n’êtes pas brutalisés par elle, il a ce don incroyable de savoir se retenir. Mais quand il s’agit de mettre la pression, il sait très bien comment faire. Ce qui rend le film plus effrayant c’est qu’il est davantage confiné. Nous avons un Indoraptor dans une chambre de petite fille. Un concept infernal que nous n’avons jamais vu dans un film Jurassic Park. C’est assez surréaliste de voir un dinosaure dans ce genre d’environnement. Et laissez-moi juste vous dire qu’il fait beaucoup de dégâts !”
Bien entendu, ces propos sont à relativiser. Spielberg est ici producteur du film et on l’imagine mal prendre la parole pour dire du mal du métrage. Cependant, on peut aussi prendre en considération que ses paroles ne font pas seulement partie d’un emballage marketing savamment huilé. Mais peuvent aussi très bien faire preuve, à l’inverse, d’une véritable sincérité.
Pour plus de réponses, il faudra encore patienter quelques semaines. Jurassic World : The Fallen Kingdom sortira le 6 juin 2018.
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C’est un film pour tout public,y aura d’effrayant que des jumpscare avec un dino casse un truc.
C’est un film pour tout public,y aura d’effrayant que des jumpscare avec un dino casse un truc.
Mais graaave!
Le premier Jurassic Park se voulait être un film d’horreur pour enfants. Dans le style des prods Amblin (Le secret de la pyramide par exemple et son climax sadique) ou d’un Indiana Jones et le temple maudit. C’est dans ce sens que Spielberg parle du film de Bayona.
Effectivement, ça a plus de sens quand on le voit comme ça.
The young Sherlock Holmes
La scène du prêtre qui retire le cœur encore battant du dévot toujours vivant et le contemplant (son propre cœur).
Faudrait déjà qu’il nous assure ne pas pondre une grosse bouse infâme ridicule et ratée, et après on verra peut être pour les autres adjectifs.
Jai hate
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