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Ce dealer a été identifié grâce aux empreintes digitales visibles sur une simple photo WhatsApp

Ce trafiquant a eu la mauvaise idée d’envoyer sur WhatsApp une photo de sa main tenant une poignée de comprimés d’ecstasy. Ce simple cliché a permis à la police galloise d’analyser une partie de ses empreintes digitales.

Pas de visage, pas de vue sur le lieu d’habitation… À première vue, la photo envoyée par ce dealer sur WhatsApp ne donne aucun indice sur son identité : on y voit simplement, en gros plan, sa main tenant un sachet rempli de comprimés d’ecstasy.

Crédit: Police du Sud du Pays de Galle

C’était sans compter sur la qualité des photos d’aujourd’hui. Grâce à ce simple cliché trouvé dans le téléphone portable d’une personne arrêtée à Bridgend, la police du Pays de Galle est parvenue à analyser les empreintes digitales du trafiquant.

Une partie du doigt visible

L’image n’en donnait pourtant qu’un petit aperçu, révèle la BBC. Seule la partie inférieure et médiane d’un doigt apparaissait dessus. Or les bases de données conservent, elles, l’empreinte de la partie supérieure des doigts. Les autorités n’ont donc pas pu se servir des résultats pour lancer directement une recherche dans ces registres.

Des photos désormais systématiquement analysées

Les policiers avaient cependant d’autres indices sur l’identité du trafiquant. Les éléments de l’empreinte ont donc pu servir à prouver leur théorie.

Cela ouvre de nouvelles perspectives. Désormais, lorsqu’une partie d’une main apparaît sur une photo, les autorités la font analyser” indique l’officier gallois Dave Thomas à la BBC.

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21 commentaires
  1. Donc, le dealer n’a PAS été identifié grâce aux empreintes digitales visibles sur une simple photo WhatsApp.
    Vous le confirmez vous-même à la fin de l’article.
    Le titre de l’article est donc erroné. Merci de le changer.
    Vous combinez le putaclic et la fake news, joli !

  2. Et cette "journaliste" possède un master de journalisme… J’ose imaginer ceux qui n’en n’ont pas, quoique c’est peut-être les études de journalisme qui rendent ces gens si prompt au travail bâclé.

  3. Donc, le dealer n’a PAS été identifié grâce aux empreintes digitales visibles sur une simple photo WhatsApp.
    Vous le confirmez vous-même à la fin de l’article.
    Le titre de l’article est donc erroné. Merci de le changer.
    Vous combinez le putaclic et la fake news, joli !

  4. Bonjour, Certes, il eût été plus impressionnant que la police parviennent à identifier le trafiquant sans aucun autre élément que la fameuse photo. Mais le titre n’est pas faux pour autant. Comme l’indique la BBC, la police avait des soupçons concernant l’identité du trafiquant mais ces soupçons n’étaient pas avérés. C’est bien la photo qui a permis de confirmer l’identité du trafiquant, autrement dit de l’ ”identifier”. Bonne journée,

  5. Pris de l’article de la BBC qui a permit d’écrire votre "article": "It was sent to South Wales Police’s scientific support unit and helped to secure 11 convictions"
    Autrement dit, ils avaient 11 preuves dont la photo. Et encore on apas lu le rapport officiel de la police qui pourrait très bien rendre ça encore moins aguicheur et vous rendre encore plus ridicule.
    Tachez plutôt de remettre en question vos titres, c’est ce qui a de plus sage.

  6. Et quant bien même le dealer aurait été identifié par une empreinte sur une photo postée sur WhatsApp, cette idiote de journaliste trouve ça intelligent de "prévenir" du coup tous les dealers de la planète de ce moyen ??
    C’etait son fournisseur à celle la ou quoi ?

  7. mange ***** que tu es, a la vie ******* et médiocre, un boulot de raté et la femme qui va avec.

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Les commentaires sont fermés.

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