Dans cette nouvelle exclusivité Netflix, les spectateurs seront projetés 30 ans dans le futur, dans un monde où la colonisation spatiale est désormais possible. On suivra les aventures de la famille Robinson, cette dernière venant d’être sélectionnée pour avoir la possibilité d’être envoyé dans l’espace afin d’y établir une colonie et reconstruire leur vie dans un monde meilleur. Mais bien évidemment, tout ne va pas se passer comme prévu et un incident va les contraindre à un atterrissage forcé sur une planète inconnue. Dés lors, la petite famille, qui se retrouve avec deux étrangers à des années lumière de sa destination initiale, va devoir survivre.
Ce premier teaser, intriguant et ambitieux, évoque bien évidemment le grand cinéma de divertissement des années 80, et notamment celui de Steven Spielberg, avec une musique enchanteresse, la présence d’un enfant au casting, l’exotisme de son récit et la thématique de la famille. On pense aussi, plus récemment, à Seul sur Mars de Ridley Scott (pour les combinaisons) et à Interstellar de Christopher Nolan (pour l’enjeu de colonie spatiale).
Reboot et cie
Dans un monde où l’originalité est devenue une prise de risque visiblement trop grande pour nombre de producteurs et artistes, il n’est pas étonnant de constater, qu’une fois de plus, Lost in Space n’est pas une réelle création originale mais bien un reboot d’une série télévisée des années 1960. À l’origine, il faut donc se souvenir de la création du même nom inventé par Irwin Allen qui ne fut diffusée en France qu’à partir de 1991.
En décembre 1998, une adaptation du show télévisé pour le cinéma sort également sur les écrans. Plutôt médiocre, le blockbuster de science fiction, jouissant d’un budget d’environ 80 millions de dollars (une somme colossale pour l’époque), ne récolta que 69 millions de billets verts sur le sol américain et 136 millions dans le monde. Un score plus que décevant qui condamna en partie le métrage à l’oubli. On rappelle que le film, réalisé par le très sympathique Stephen Hopkins (Freddy 5 et Predator 2) pouvait tout de même compter sur un casting haut de gamme réunissant Gary Oldman, William Hurt et Matt LeBlanc.
https://www.youtube.com/watch?v=L-vBHuR2_R8
La nouvelle version 2018 de la série de 1965 arrivera quoiqu’il en soit sur la plateforme de streaming américaine à partir du 13 avril prochain. En attendant, pour les amateurs de SF (et les autres), sachez que Mute de Duncan Jones sortira demain, vendredi 23 février, sur Netflix.
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Demain, le 23 avril ? Ce ne serait pas plutôt le 23 Février ?
Ulysse revient
A travers les cieux, l’espace et le temps
Un vaisseau s’en vient, Ulysse
Contrôlé des dieux, les pièges géants
C’est l’Odysséus, Ulysse
Ulysse revient et c’est un bien long chemin
Ulysse revient, il lutte pour son destin
Salut c’est moi Nono. J’suis le robot héros
Cadeau d’Ulysse pour Télémaque son fils
Je vis dans l’grand vaisseau comme un poisson dans l’eau
Avec Thémis, Télémaque et Ulysse
Ulysse revient, Ulysse revient
Car pour Télémaque, Thémis et Nono
Il lui faut lutter, Ulysse
Ulysse trente et un prépare ton vaisseau
La Terre t’attend, Ulysse
Ulysse revient et c’est un bien long chemin
Ulysse revient, il lutte pour son destin
Salut c’est moi Nono. J’suis le robot héros
Cadeau d’Ulysse pour Télémaque son fils
Je vis dans l’grand vaisseau comme un poisson dans l’eau
Avec Thémis, Télémaque et Ulysse
Ulysse revient, Ulysse revient
Ulysse revient et c’est un bien long chemin
Ulysse revient, il lutte pour son destin
Salut c’est moi Nono. J’suis le robot héros
Cadeau d’Ulysse pour Télémaque son fils
Je vis dans l’grand vaisseau comme un poisson dans l’eau
Avec Thémis, Télémaque et Ulysse
Ulysse revient, Ulysse revient