Le colosse qu’est PlayerUnknown’s BattleGrounds n’a pas encore les pieds d’argile, mais il connaît un léger coup de mou. En effet, un mois seulement après sa sortie de l’accès anticipé, la fréquentation de ses serveurs à quelque peu baissé. Rien de bien dramatique, mais cela met fin à une longue série de records.
Un avenir tout tracé
En revanche, pour ce qui est des ventes, PUBG se porte très bien , merci pour lui. Le Battle Royale de Bluehole s’est écoulé à plus de 30 millions d’exemplaires rien que sur PC (on ne compte pas les ventes Xbox One, mais en même temps, à quoi bon ?).
Our dev team has been working on a dev roadmap for early 2018 in the past few weeks.
It's about time we update you on what's happening and where things are at. We will share this roadmap with you soon once we have finalized all the details.
Happy Valentine’s Day, btw.
— 😌 (@sammiekaang) February 14, 2018
D’autant qu’à l’occasion de la St-Valentin, Sammie Kang, l’une des créatrices de PUBG annonçait que les développeurs s’étaient mis d’accord sur une feuille de route pour leur bébé. On peut donc s’attendre à de nouvelles armes, du contenu cosmétique, des véhicules supplémentaires, et pourquoi pas une troisième carte ?
Oh Cheat !
Interrogé par la gestion des cheaters sur le sujet, BattleEye est revenu sur la gestion des cheaters. Vendredi dernier, une fausse information circulait sur le Web assurant que 99% des joueurs bannis pour triche étaient chinois. Or BattleEye n’a jamais avancé un tel nombre. Le logiciel anti-triche avait simplement expliqué en octobre dernier que la majorité des joueurs exclus venait de l’Empire du Milieu.
Pour ce qui est des 99%, il s’agit probablement d’une erreur de traduction/interprétation d’une interview de Brendan Greene, l’un des créateurs de PUBG. Il annonce en effet que 99% des cheats proviennent de Chine.
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