Passer au contenu

Après Shadow, Nvidia et Sony, Google pourrait aussi se mettre au jeu vidéo en streaming

Si certains ne croient pas au cloud gaming, ce n’est visiblement pas le cas des géants du secteur. Et l’arrivée d’une entreprise comme Google pourrait accélérer les choses.

La promesse du cloud gaming est simple et ambitieuse : jouer à des jeux en streaming, hébergés sur des serveurs à distance et pas sur sa propre machine. Une alternative qui propose l’énorme avantage de ne pas demander trop de ressources matérielles, mais une bonne connexion à internet.

Des concurrents sérieux

Les Français de chez Shadow, l’américain Nvidia et le japonais Sony (mais aussi Blacknut ou certains opérateurs via leur box) proposent déjà ce service via un abonnement mensuel.

Le premier se démarque néanmoins en ayant mis en place une expérience complète de Windows 10. Le second se base lui sur sa NVIDIA Shield tout en se déployant sur PC et Mac tandis que Sony propose avec le PS Now un catalogue comportant de nombreuses exclusivités jouables sur PS4, mais aussi (et surtout) sur PC.

Google a les moyens

Toute cette agitation autour du secteur n’est pas passée inaperçue, et Google pourrait rentrer dans la danse (selon le média The Information). Sans être un cador du gaming, la firme de Mountain View dispose déjà du gigantesque catalogue du Google Play, et pourrait elle aussi agrémenter une offre de jeux déjà pléthorique.

Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que Phil Harrison, un ancien cadre de chez Sony passé chez Microsoft, a récemment rejoint leurs rangs. Il pourrait ainsi s’occuper de lancer ce “Projet Yéti” (son nom de code) pour ses nouveaux employeurs. Quand on connait les moyens que peut débloquer Google, difficile de ne pas voir un bel avenir au cloud gaming. Il faudra pourtant travailler sur les problèmes de latences lorsque la connexion est fébrile, mais l’augmentation générale des débits devrait permettre de profiter d’une expérience de plus en plus fluide.

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

Mode