Le futur commence aujourd’hui chez Amazon Go. Un peu plus d’un an après avoir présenté son magasin intelligent, Amazon Go ouvre ses portes ce lundi au rez-de-chaussée du nouveau siège social de la firme à Seattle (sur la 7e avenue).
L’occasion d’apprécier cette prouesse technologique vantée par le leader du commerce en ligne qui, une fois encore, entend révolutionner les habitudes d’achat des Américains (pour commencer).
Un supermarché presque comme les autres
Ainsi, dans une surface qui rappelle celle d’innombrable supermarché façon Daily Monop ou Prêt à Manger (imaginée par les huiles derrière l’achat en un clic et la livraison en 48h), sandwich, boissons, repas préparés et autres salades sont mis à disposition de la clientèle. Mais aussi une sélection de bières et de vins, de la viande, des repas de la marque Amazon ou des chips, cookies et noix de la marque Everyday Value Brand disponible dans les magasins Whole Foods, acquis par le groupe en 2017 pour 13,7 milliards de dollars.
Tout cela accessible simplement et sans avoir à attendre de longues minutes en caisse et se munir d’un quelconque moyen de paiement. Il faudra néanmoins se munir de son smartphone sur lequel l’application Amazon Go aura été téléchargée et le scanner au tourniquet high-tech en entrant dans le magasin. Une fois ses courses achevées, direction la sortie où l’ensemble des produits seront facturés à la sortie. Les caméras et capteurs placés sur les étagères se chargent du reste.
Sans caisse, mais pas sans employés
Le défi majeur pour Amazon sera d’inciter sa clientèle à pousser les portes de ce magasin intelligent, quand ils peuvent se faire livrer leurs courses en quelques clics sans avoir à bouger de leur canapé. L’argument ? La technologie comme service supplémentaire de haute qualité.
Exempté de caissiers, ce magasin n’en sera pas moins doté d’employés : certains sont postés au rayon alcool pour s’assurer de l’âge légal des clients et d’autres naviguent entre les rayons pour répondre à toute demande ou s’assurer que la technologie déployée fonctionne normalement.
Comme lorsque le magasin sera bondé, qu’un article sera pris de l’étagère et finalement reposé sur une autre, etc. des problématiques qui ont nécessité des ajustements rappelle Re/code, et explique en partie l’ouverture tardive de ce premier magasin.
D’autres Amazon Go devraient ouvrir dans les prochains mois, mais les algorithmes de la firme devront d’abord apprendre des comportements des premiers clients avant d’espérer un déploiement plus important… qu’un véritable succès accélérera sans aucun doute.
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Technologiquement parlant, si c’est efficace, c’est balèze.
Après avoir passé ma semaine bad luck ou :
– J’ai passé 30 minutes à la pharmacie pour des pastilles pour la gorge
– 20 minutes à une caisse de supermarché a cause d’une dame qui était pas content que sa réduction passe pas.
– Le combo gagnant de me taper 2 caisses à Weldom ou j’ai du attendre 15 mn à chacune parce qu’il y à toujours quelqu’un devant moi qui à le seul article du magasin qui à un problème.
Ben je me dit que au final c’est peut être pas une mauvaise chose.
Ou comment encore supprimer des emplois pour que les grand patrons s’en mettes encore plein les poches sans redistribuer les richesses.
A force de supprimer des emplois pour qu’il s’en mettent toujours plus plein les poches, eh ben qui c’est qui va leur acheter leurs produits, puisque plus personne n’aura de salaire a dépenser ?
Une possibilité :
Les nantis ne laisseront pas tout le monde crever de faim, ils leurs donneront juste de quoi bouffer. Ils en feront ainsi de bons esclaves prêts à tout pour un morceau de pain.
Les nantis n’auront plus pour objectif de vendre et de faire des affaires. Leur souci sera de se faire construire de somptueux palais par ces esclaves. Ils seront les nouveaux pharaons. Et leur ambtion sera alors de s’accaparer les richesse des autres pharaons en leur faisant la guerres avec leurs esclaves guerriers. Ils pourront ainsi assouvir leur soif de puissance et de domination.
Nous serons ainsi revenus 30 à 40 siècles en arrière.
Elle n’est pas belle la vie ?