La chose est peu pratique, voire presque un peu dangereuse, mais on n’a guère fait mieux en terme d’originalité. C’est typiquement ce que veut développer le collectif de graphistes fondé en 2014, qui veut explorer “de multiples questions liées aux formes éditoriales et à l’objet imprimé. Nous sommes attachés à travailler sur l’ensemble des étapes de nos projets, interrogeant à la fois les contextes d’interventions, la production de contenus, les processus d’impression et de fabrication, ainsi que les outils de diffusion de ces travaux.”
La bonne idée pour le bon roman
Créer un livre sensible à la chaleur en prenant Fahrenheit 451 pour cobaye est bien évidemment tout sauf un hasard. Le livre de science-fiction de Ray Bradbury, paru en 1953 raconte l’histoire de Montag, un pompier qui a pour mission de bruler les livres des gens au motif qu’ils sont interdits. Jusqu’au jour où il se met à en lire… Le titre de l’oeuvre est lié à la température en degrés Fahrenheit à laquelle, selon Bradbury, le papier se consume.
Les exemplaires de ce très spécial Fahrenheit 451, probablement limités en nombre, seront disponibles à la vente sur la boutique du collectif quelque part en 2018. On ne manquera pas de vous tenir au courant. En attendant, on vous invite chaudement à aller lire notre dossier sur les plus célèbres dystopies au cinéma – Le futur, c’était mieux avant ? La dystopie à Hollywood.
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Super idée pour mettre le feu à l’immeuble !
ou alors on utilise un sèche cheveux (si la température est suffisante).
complétement con
Certains vont se faire Darwiner