Le saviez-vous ? Il existe une suite au film Mon voisin Totoro. En effet, plusieurs années après la sortie du film, en 2002, un court-métrage animé d’une quinzaine de minutes a vu le jour. Baptisé Mei to Konekobasu (Mei et le Chatonbus) et une nouvelle fois réalisé par le maître du genre, il suit les aventures de la petite Mei et sa rencontre avec Chatonbus, qui n’est autre que le fils de Chatbus !
トトロの続編『めいとこねこバス』を知ってる人ほとんどいない説 pic.twitter.com/p37x2Kpgwc
— とある (@33kitta) 10 octobre 2017
Un court métrage de 15 minutes
À l’époque, le film était présenté en séance privée au musée Ghibli de Mitaka, ce qui explique que très peu de personnes connaissent son existence.
Pour ceux qui voudraient le découvrir, il vous en coûtera une escapade au Japon. Mei to Konekobasu sera projeté une nouvelle fois au Musée Ghibli du 1er au 30 novembre. Aucune projection n’est prévue en France et le court-métrage est introuvable sur les plateformes de SVoD ou les sites pirates.
Réalisé en 1988 par Hayao Miyazaki, mais découvert en 1999 en France, Mon voisin Totoro est l’un des plus emblématiques des studios Ghibli. si bien que la créature figure sur le logo du studio et qu’un parc à thème entièrement consacré à l’univers de Mon voisin Totoro sortira de terre en 2020.
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“Papa et Maman ils ont été très vilains, alors Totogro il les a envoyés faire dodo !”
Chante avec moi Totogro! Totogro Totogro!
En fait c’est très connu des japonais, et de tout visiteur du musée Ghibli. Et il est très sympa ce court métrage 🙂
En fait, ce court-métrage a tourné sur les plate-formes de partage il ya plus d’un an.
Il était en mauvaise qualité mais ça permet de l’avoir vu.
😉
euh, il suffit de taper “Mei to Konekobasu” dans google video, et vous pourrez le voir en mauvaise (très mauvaise) qualité.
Le détail que l’on vous donne aujourd’hui (du 1 au 30 novembre), mais dont nous n’avions pas connaissance à l’époque, est que les courts métrages sont diffusés par période.
Je me souviens avoir acheté nos tickets dans un 7-Eleven, où l’on ne parle que japonais (logique), via un Lawson terminal. On s’était ensuite rendu au musée à Mitaka (plus facile déjà) dans l’espoir d’y visionner “Le Jour où j’ai cultivé une étoile”, “À la recherche d’une maison” ou pourquoi pas “Mei, et le chatonbus”. Bhein nous on est tombé sur “Les Souris sumo”. Ce n’était pas mal, mais ce n’est pas ce que j’aurais été voir en premier.
Enfin, je ne le regrette pas du tout, mais le musée est relativement petit et les courts métrages étant, par définition, “court”, il aurait été plus généreux de proposer plusieurs séances. Cela ne m’étonnerait pas, culturellement parlant, que le musée sous-estime un peu l’inestimable chance de visionner ces petites merveilles.
En échange de ton ticket, tu reçois un billet d’entrée composé au hasard un morceau de pellicule contenant 3 images d’un de leurs films. Sur nos billets, il s’agit du “Château ambulant” et “Mon voisin Totoro”.
Sans être très matérialiste, c’est un souvenir auquel je tiens beaucoup.