Updated the number of Steam games released per year chart.
2017 already higher than 2015. Over 1,300 new games since Steam Direct launched pic.twitter.com/KySFREY44w
— Daniel Ahmad (@ZhugeEX) 8 septembre 2017
Steam Direct, un atout qui n’en est finalement pas un ?
C’est un fait indéniable depuis plusieurs années, Steam propose beaucoup de jeux. Peut-être même trop. Et ce n’est qu’un début. Depuis le 13 juin dernier et le lancement de Steam Direct, les barrières qui barraient la route de certains développeurs, ne sont plus. Ainsi, il est bien plus aisé de pouvoir proposer un jeu au catalogue déjà conséquent de la plateforme qu’auparavant. Cette solution, qui vise à remplacer Steam Greenlight, porte ses fruits puisque pas moins de 1 300 jeux sont d’ores et déjà sortis par son biais.
Le problème, c’est que Steam Direct ne garantit en rien la qualité des jeux vidéo proposés sur la plateforme, puisqu’à l’inverse de Greenlight, les joueurs n’ont plus leur mot à dire en amont. Et plus il y a de titres en vente, plus la concurrence s’accroit, ce qui peut être préjudiciable pour certains jeux qui mériteraient d’être mis en avant.
Quoi qu’il en soit, Daniel Ahmad annonce qu’au minimum 5 000 nouveaux titres seront présents sur Steam d’ici au 31 décembre prochain, soit un record pour la plateforme. Pour rappel, en 2016, c’était un peu plus de 4 500 jeux qui avaient été mis en ligne sur Steam.
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A un mot près le titre est correct… “fou”.
Vivement qu’il arrive le nouveau stagiaire pour te remplacer
C’etait prévu. Steam a annoncé que cela allait “épurer” les mauvais jeux, mais tous le monde savait que c’était juste un moyen pour qu’ils s’en mettent encore plein la poche. 100$ pour publier un jeu sans controle en amont c’est rien du tout
Ils vont faire comme le Play Store, ils vont laisser tout les Game designer en carton publié leur jeu sur la plateforme et se faire de l’argent avec les 100$ qu’ils ont payé pour entrer. Le mec vendra 3 jeux à 2€ et il sera content d’être un “Game designer” professionnel qui à publié un “jeu indépendant” sur Steam (Un clone de Flappy bird intitulé “Poopy Bird”).
Je suis sûr que c’est une technique qui cartonne sur le Play Store, qui facture 25$ au développeur content de montrer à ses copains que sa boite à meuh est sur le Play Store.
Après ça ouvre le marché et de petites pépites vidéoludiques naissent au milieu de milliers de jeu pourris.
Je comprend maintenant pourquoi cette année j’ai fait autant de demandes de remboursement…. Tellement les jeux qui sortent ressemblent à rien…