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Atari lance deux consoles pour nostalgiques

Le rétro-gaming a la cote, et les constructeurs savent jouer de cette fibre nostalgique. Nintendo s’en est fait le champion avec les NES et SNES mini…

Le rétro-gaming a la cote, et les constructeurs savent jouer de cette fibre nostalgique. Nintendo s’en est fait le champion avec les NES et SNES mini qui font le bonheur des joueurs de plus de 30 ans (voire plus), mais Atari n’est pas en reste.

Le constructeur a noué un partenariat avec PQube pour mettre au point deux produits très joueurs, regroupés sous la bannière Atari Retro. Le premier est une console portable équipée d’un écran de 2,4 pouces ; tout autour, on profitera des boutons indispensables. Cette mini-console, au design « bois » typique de l’Atari 2600, comprend aussi une sortie A/V pour la brancher sur une télé (un adaptateur HDMI est aussi disponible). L’appareil fonctionne sur piles.

L’autre produit qui fera certainement vibrer la corde sensible, c’est un joystick qui là aussi reprend le design de celui qu’Atari fournissait avec sa console mythique. On devra la brancher à une TV pour en profiter. Les prix de ces deux consoles sont de 35 £ pour le modèle avec écran, et de 25 £ pour le joystick (environ 38 € et 27 €).

Des jeux, beaucoup de jeux

Le matériel, c’est bien mais ce qui est beaucoup mieux, ce sont les jeux. Ces deux appareils sont fournis avec 50 titres, des classiques de l’Atari 2600 évidemment dont Asteroids, Breakout, Millipede, Missile Command, l’increvable Pong ou encore Tempest.

Atari est sur tous les fronts ces derniers temps. Le constructeur a ainsi annoncé des casquettes Bluetooth dotées de haut-parleurs à l’occasion de la sortie en salles de Blade Runner 2049 ; mais surtout, l’entreprise mythique compte se relancer sérieusement dans le monde du jeu vidéo avec une nouvelle console, l’Ataribox, bien plus ambitieuse que les produits ci-dessus.

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15 commentaires
  1. Ça vise un public vraiment spécifique, et restreint en plus de ça je pense. Je ne leur souhaite pas de bider, mais franchement je n’ai jamais connu quelqu’un nostalgique de l’Atari 2600 par exemple.

    1. Mon Dieu, tu dois pas vraiment être au courant de la scene homebrew Atari, une des plus importante, de l’immense club de fan et de collectionneures (surtout au USA) et de site mytique comme AtariAge… Je vais te choquer mais y’a pas que des fans de l’iphone et de la PS4 sur terre.

      1. Les autoproclamés GEEK qui n’ont en fait aucunes culture GEEK au sens originel, qui ne sont que des consommateurs de produits à la mode

      2. Dsl mon commentaire n’avait rien de sarcastique ou moqueur. Je ne savais pas effectivement, merci de me l’apprendre. Par contre est ce que la communauté est assez importante pour assurer un succès commercial. Après si tu me dis qu’aux Etats Unis ils sont très actifs chez les amateurs d’Atari j’ai envie de te croire.

  2. je veux pas être mêchant mais on attend des nouvelles de l’Ataribox.. le reste c’est dispo depuis des années.. l’emballage de ces consoles ne va pas vraiment apporter un plus à ceux (nostalgeek de l’atari) qui ont déjà achetés les dix versions précèdentes.

    ?

  3. le joystick fait rien vibrer du tout, c’était hyper solide, mais franchement naze en terme ergo et très dur … mais bon, c’étais de la R&D un joystick a l’époque alors on leur en veux pas …

  4. Vous parlez d’Atari comme d’un « constructeur ». Si l’Atari historique en était bien un, l’entreprise qui porte aujourd’hui son nom n’a quant à elle fait jusqu’ici que dans le logiciel. Votre article serait une bonne occasion de rappeler que cette entreprise est en réalité le français Infogrames, qui n’a d’Atari que le nom qu’elle a racheté, et n’a aucun lien concret avec le pionnier américain du jeu vidéo connu de tous, fabricant de Pong, des VCS, des XL, des ST, des Falcon, de la Jaguar, de la Lynx et de nombreuses bornes d’arcade. L’usage qui est fait depuis 1998 de la marque « Atari », date de son rachat par Hasbro, n’est qu’une tromperie mercantile.

    1. Ben ouais c’est ce qu’on aimerait bien avoir comme info “inintéressante et qui nous permettrait de mieux appréhender sous l’angle social et économique, voir macro économique ou économie industrielle, une tendance et un mode de vie” . Bref le boulot de base d’un journaliste quoi, plutôt que juste balancer des brèves

Les commentaires sont fermés.

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