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Après une pause de presque 30 ans, une presse à vinyles va ouvrir en Australie

Face à une demande toujours plus croissante de galettes de qualité et grâce au récent soutien de Sony, les ventes des vinyles continuent de grimper ces…

Face à une demande toujours plus croissante de galettes de qualité et grâce au récent soutien de Sony, les ventes des vinyles continuent de grimper ces dernières années. Entre la bande originale de Contra ou les versions Blu-ray de Deadpool et Logan chacune livrée avec leurs vinyles, il semble que le 33 tours soit sur le point de faire son grand retour dans l’industrie musicale après une pause de presque trente ans.

Un regain d’intérêt

Au Royaume-Uni, les ventes de CD ont d’ailleurs été dépassées par celles des vinyles en 2016. Un regain d’intérêt qui aurait incité Program Records à ouvrir une nouvelle usine de pressage à Melbourne. Celle-ci devrait être opérationnelle début 2018 et permettre de fabriquer ce qui se fait de mieux en la matière.

Selon Mixdown, l’usine australienne débutera par l’impression de disque de 12 pouces de 140 et 180 grammes avant de passer à la production de disques de 7 et 10 pouces plus tard dans l’année. De quoi ravir les audiophiles !

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6 commentaires
  1. Les vrais audiophiles n’ont aucun intérêt pour le vinyle, contrairement à la rumeur répandue, y compris par cet article. Les nostalgiques oui, les amateurs de jolies coffrets à la limite, mais c’est tout.
    Un CD audio avec une bonne platine de salon produit un son identique, voire meilleur que celui d’un vinyle, et surtout ne s’abîme pas au fil des lectures !

    1. En bande passante, dynamique, diaphonie le CD défonce le vynil. Il n’y a que les bulots pour croire le contraire.

    2. Hou-là ! tu vas te faire lyncher !

      Mais je pense également qu’un bon CD (bonne prise de son, bon enregistrement) sur un bon système audiophile enterre un vinyle (bonne prise de son, bon enregistrement) sur un autre système analogique audiophile.

      Au début des CD il y a eu des soucis (prise de son avec des micros adaptés à l’analogique, correction RIAA, enregistrement des masters) mais ils ont été vites corrigés.
      Et pourtant je possède des enregistrements analogiques en gravure directe, mais je ne suis pas nostalgique car le vinyle c’est beaucoup de contraintes :
      entretien et conservation des disques, usure des disques et des diamants, remplacement des cellules coûteux, et dégradation des qualités d’écoute du fait de l’usure des sillons.
      Tous ces inconvénients disparaissent, ou presque avec le numérique.

  2. Vivement que reviennent le Phonogramme avec les cylindres en cire d’Edison ! Tant qu’a faire du “Purisme” …

  3. Je ne pense pas que ce soit plus une question de support que de production.
    Les productions, de l’epoque du vinyle avec une raisonnance speciale propre au studio, une absence totale de vocoder et autre retouche de voix (je ne parle pas de masterisation mais bien de retouche). Et forcement il y a une vraie projection accoustique, en tant qu’audiophile, dans ces prods.
    Maintenant “tout” est trop propre, trop parfait, sans personnalite… et je ne pense pas que le vinyle arrive a sauver une production sans saveur.

  4. moi je prend le vinyle que pour la collection de l’objet, la “nostalgie” de mettre un vinyle en vrai sur ma platine pour l’écouter et le son de certaines galettes qui craquottent légèrement après 20 ans d’existence. on sait très bien que les formats informatiques et CD sont meilleurs et “impérissables” mais je pense que ce qui intéresse les gens c’est l’objet et pas la qualité audio.

Les commentaires sont fermés.

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