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La NASA annonce la découverte de dix nouvelles planètes “potentiellement habitables”

La liste des exoplanètes potentiellement habitables continue de s’allonger de mois en mois. Quelque temps après l’annonce en grandes pompes du système Trappist-1, la NASA en remet une couche en indiquant avoir trouvé dix nouvelles planètes potentiellement habitables.

Ce ne sont pas de nouvelles observations qui ont permis de découvrir ces planètes, mais bien une étude des données déjà récoltées par le télescope Kepler. La NASA a ainsi déterminé l’existence de 219 nouvelles exoplanètes (hors du système solaire), dont 10 d’entre elles sont potentiellement habitables.

Jungle ou désert ?

Une planète potentiellement habitable est une planète rocheuse de la taille de la Terre située dans la zone d’habitabilité d’un système. C’est le terme « potentiellement », qui est important dans ce cas, car une planète de ce type peut aussi bien être une jungle luxuriante qu’un désert infernal. Par exemple, selon nos critères, Mars et Vénus sont des planètes potentiellement habitables, mais loin d’être idéales pour des vacances.

Ces dix nouvelles planètes habitables, donc, sont situées dans des systèmes dans la constellation du cygne. N’espérez pas y aller un jour, tant ces mondes sont éloignés.

La NASA ne donne pas vraiment de détail sur cette nouvelle découverte, qui est en réalité plus un prétexte pour faire le point sur la situation de Kepler. Depuis son lancement en 2009, le télescope n’a pas chômé et a prouvé une efficacité redoutable pour chasser les exoplanètes. Au total, ce sont 4 034 exoplanètes qui ont été repérées. 2 335 ont été par la suite confirmées par des analyses poussées. 50 planètes potentiellement habitables ont été observées, dont 30 confirmées.

Un bilan excellent pour Kepler, qui ne cesse de prouver que la Terre n’est finalement pas une exception dans notre galaxie. Il ne reste maintenant plus qu’à découvrir une planète habitable, et plus seulement “potentiellement” habitable.

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12 commentaires
  1. Alors merci d’utiliser “se trouvant dans la zone d’habitabilité” et pas “potentiellement habitable”.
    Mars et Venus ne sont pas habitable, meme potentiellement, elle se trouve dans la zone d’habitabilité.

    Les mots et expressions ont un sens, les changer change le sens.

    1. “C’est le terme « potentiellement », qui est important dans ce cas, car une planète de ce type peut aussi bien être une jungle luxuriante qu’un désert infernal. Par exemple, selon nos critères, Mars et Vénus sont des planètes potentiellement habitables, mais loin d’être idéales pour des vacances.”

  2. Et ça vient à personne de se dire que si c’est habitable ou pententiellement habitable, ben justement, c’est peu etre deja habiter?
    Les genocides en colonisant telle ou telle parti de notre planete, on en a pas assez, pour allez le faire ailleurs?

      1. Troll On : Vas dire ça aux vegans, on va découvrir de nouvelles espèces à manger 😀

        Troll Off : l’être humain n’est jamais satisfait de ce qu’il a, il en veut toujours plus donc bon…

    1. Qui a dit qu’il fallait le faire ailleurs, si vous avez la moindre notion de distance dans l’espace vous comprendriez que ces planetes ne sont a l’heure actuelle et probablement pour plusieurs siecles, absolument pas apparochable et meme pas par une sonde.

    1. l’argent investi dans ce genre de projet n’est jamais “vain” l’IRM découle de technologies qui ne servaient à rien à leur époque.

Les commentaires sont fermés.

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