Si vous avez bonne mémoire ou une bonne culture du jeu vidéo, le titre Spacewar doit vous dire quelque chose. Et pour cause, c’est l’un des tout premiers jeux vidéo de l’histoire, conçu et sorti au début des années 60 sur PC, puisque quelques années après sur borne d’arcade.
Spacewar, un shoot spatial et multijoueur aux graphismes sommaires
Ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que Spacewar est disponible gratuitement sur Steam. Inutile de le rechercher directement dans le moteur de recherche ou dans le catalogue, il n’est référencé nulle part. Pour l’installer, il est nécessaire d’ouvrir la fenêtre « Exécuter » de Windows (touches Windows + R) puis d’entrer la commande « steam://run/480 ». Steam va alors vous proposer de lancer un téléchargement de 10 Mo et ajouter le jeu dans votre bibliothèque.
Le jeu en soi n’a que très peu d’intérêt. Il s’agit d’un petit shooter spatial très basique dans lequel les joueurs incarnent des petits triangles qui se tirent dessus. Pas de mode solo au programme, il s’agit uniquement d’un jeu multijoueur en ligne. Premier fait inhabituel concernant Spacewar : selon les divers sites de suivi d’audience des jeux de Steam (SteamDB, Steam Charts ou Githyp), il n’est pas rare que Spacewar voit son nombre de joueurs dépasser les 8000 à certains moments de la journée voire 13 000 lors de son record d’activité. Ce qui fait virtuellement de lui l’un des 100 jeux Steam les plus joués du moment. Mais alors pourquoi est-il quasiment impossible de trouver un serveur ou une partie quand on lance le jeu ?
Un moyen de contourner discrètement les protections anti-piratages de Steam
La raison est simple : Spacewar n’est pas le jeu multijoueur auquel tout le monde joue secrètement depuis des mois, mais un moyen de contourner le système de protection anti-piratage de Steam. Comme Steam est capable de détecter des jeux piratés (en vérifiant s’il existe un logiciel tiers de triche installé dans ses répertoires et en vérifiant les licences des jeux), les développeurs de cracks les masquent en les faisant passer pour Spacewar.
On ne sait pas exactement pourquoi ces développeurs de cracks ont spécifiquement utilisé ce jeu. Très probablement parce qu’il s’agit d’un jeu caché de Steam et que, justement, il n’apparaît jamais dans le top 100 des jeux les plus joués de la plateforme de Valve. Une discrétion appréciable. Mais une rapide recherche sur Google (que l’on vous laissera faire étant donné que cela ramène souvent sur des sites de cracks) permet de comprendre que Spacewar est très souvent utilisé pour jouer à des jeux multijoueurs ou qui nécessitent obligatoirement Steam pour être lancés.
Spacewar est un bon moyen de mesurer le nombre de joueurs qui piratent leurs jeux sur Steam
Si dans votre liste d’amis Steam vous avez quelqu’un qui joue actuellement à Spacewar, il y a donc de fortes chances qu’il n’est pas en train de vivre des combats spatiaux dans un jeu aux graphismes simplistes, mais plutôt qu’il fait tourner un jeu piraté. Naturellement, tous les joueurs qui lancent Spacewar ne sont pas des pirates. Le jeu est en fait utilisé par de vrais développeurs de jeux vidéo pour réaliser des tests de build, voire de véritables joueurs qui veulent passer le temps. Fait amusant, sur les forums de Steam, certains joueurs qui jouent réellement au jeu s’inquiètent de savoir si jouer à Spacewar pourrait les amener à voir leur compte Steam banni. Valve n’a jamais répondu, mais il semble que ce n’est pas le cas.
Spacewar est également intéressant sur un autre aspect : il permet de savoir comment se porte actuellement le piratage sur Steam, en surveillant son audience. Le site de tracking de statistique des jeux Steam GitHyp affirme que le nombre de « joueurs » de Spacewar aurait ainsi augmenté de 317 % depuis avril 2015. Autant dire que l’astuce commence largement à être éventée.
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Ça ne choque que moi un graphique dont le titre est : “Le nombre de joueurs par heure de Spacewar depuis avril 2015.” alors que c’est par mois? 😡
C’est une erreur, effectivement. Il fallait lire, “nombre moyen de joueurs par heure”. C’est corrigé.
C’est toujours par mois et non par heure…
C’est bien le nombre moyen de joueurs par heure, sur un mois.
On ne peut pas dire par heure si on a pas la notion d’heure représenté sur le graphique….
C’est le nombre moyen de joueurs par mois….. Si on compte les barres, ça fait par mois, si on regarde la légende en bas du graphique ils mettent tous les 3 mois….
…Cela veut dire qu’en septembre 2015 tu avais une moyenne de 3000 joueurs par heure alors qu’en Juillet 2016 c’était 6000 joueurs par heure.
Et tu sais quoi? Un mois est composé d’un certain nombre d’heures. Tu divises le nombre de joueur total par le nombre d’heures que compose un mois et tu as une moyenne.
Et tu sais quoi, bizarrement tu as pas le même nombre d’heure 1 mois sur 2!
Voir, tu as même 1 mois qui en a beaucoup moins.
Mais ça ce graphique doit s’en ficher si comme tu le dis c’est une moyenne de 3000 joueurs par heure en septembre 2015!
Non mais attends, ça veut dire que ce graphique se base en vraie sur une moyenne par heure par mois alors qu’en vraie, tous les mois ne sont pas pris sur la même base? Donc on peut difficilement comparer 2 mois d’affilés à moins de définir un nombre de jours fixe que les 2 doivent forcément avoir? Mais ce graphique ne semble pas le faire ( ou en tout cas, même la source ne le dit pas ).
Ben mince alors, c’est vraiment problématique!
Quelle importance qu’il y ai plus ou moins d’heures entre un mois et un autre?
J’ultra simplifie : Février est composé de 3heures en tout, Septembre de 6.
En février la première heure il y avait 3 joueurs, personne n’a joué pendant les deux autres.
3joueurs/3heures= 1 joueur par heure.
En septembre qui compte deux fois d’heures. 3 joueurs ont joué la première heure, et trois autres la dernière heure.
6/6=1 joueur par heure.
2 fois plus de personnes ont joué en Septembre, mais le mois est deux fois plus long, donc on garde le même moyenne.
Et si on reprend ta même logique :
3h pour février et 6h pour septembre mais qu’une seule fois pour les 2, tu as eu 3 joueurs, ça te donnera :
3 joueurs/3h = 1 joueurs par heure en février.
3 joueurs/6h = 0.5 joueur par heure en septembre.
Pourtant, d’un point de vue chiffre, ils auront eu autant de joueurs sur le mois en moyenne sauf si on y ajoute la notion d’heure qui ne peut pas s’interpréter de la même façon car la base de nombre d’heures par mois est différente.
Ils auront eu moins de joueurs par heure en Septembre. Ce qui est important lorsque l’on cherche à afficher le nombre de joueurs par heure pour chaque mois. Comme ce graphique.
C’est pas nouveau dead rising 3 en hack multi sur steam indiquait que l’on jouait a ce jeux.
Marrant !
“…conçu et sorti au début des années 60 sur PC…”
oui oui oui …
PS : https://fr.wikipedia.org/wiki/IBM_PC
Oui oui oui !
PS : https://fr.wikipedia.org/wiki/Spacewar! ==> https://fr.wikipedia.org/wiki/PDP-1
spacewar n’est pas le seul jeu ‘fantome’ sur steam qui est utilisé pour les versions crack, y’en a pleins d’autres, tous des jeux ou des démo de jeux pas très populaires.
Quand on développe un jeu avec Steam, un jeu qui n’a pas encore d’identification sera aussi vu comme “Space War”.
Si j’ai un ami qui bosse sur le nouvel Assassin’s Creed par exemple, quand il lance le build Steam, je verrai “Ami joue à Spacewar”
Oui c’est dit dans l’article. Mais Je pense pas que ubi ait besoin de passer par la pour tester ses jeux. Ubi ou tout autre grosse boite d’ailleurs. Y’a que les indés qui développent des jeux avec du multi.
J’avais un jeu (cracké of course :/) qui affichait “Payday2 demo” aussi ^^
moi ce qui me choque c est la vision “moderne” du jeu video : “Le jeu en soi n’a que très peu d’intérêt. Il s’agit d’un petit shooter
spatial très basique dans lequel les joueurs incarnent des petits
triangles qui se tirent dessus.”
C est juste un jeu nettement plus intelligent qu’il n y parait et qui gere quand meme une notion basique de gravite avac laquelle on peut jouer pour pieger ses adversaires.
Encore quelqu un qui juge juste sur de “petits triangles” et non sur le fond du jeu nettement superieur a pas mal de jeux purement bourrin actuel
ah oui spacewar etait sur pdp, jamais adapte en arcade du fait d un code tres specifique ni sur pc bien sur.
Il y a eu sur pc et en arcade des jeux issus de cette idee mais le jeu original n a existe que sur pdp1
sur arcade il y a eu computer space derive de spacewar, mais dont les regles different… et sur pc plein de copies divers …
Ben à cause de vous ils ont éteint les serveurs xD
A 21h48 le 19/05, le réseau steam est indisponible, ça n’était jamais arrivé à mémoire d’Ome (ome c’est moi)
Wow. Je ne poste jamais de commentaire sur le JDG, mais la cette article est vraiment mauvais. Cela se sent que très peu de recherches ont été faite. Un peu de temps sur google vous aurais appris que Space War n’est pas un jeu choisit au hasard par tout le monde et que NON ce n’est pas un bonne valeur pour tracker les jeux piratés.
Mais bon, voici en quelques ligne pourquoi cette article est erroné et pourquoi il y a du monde sur “SpaceWar”:
– SpaceWar (appid 480) est une démo du SDK de Steamwork permettant aux développeurs n’ayant pas encore de AppID (leur jeu n’est pas validé pour être sur Steam pour le moment par exemple en cour de production) d’utiliser une grande partie des features que Steam propose aux développeurs (Matchmaking, Achievement, Invitation par liste d’amis etc). Toutes ne sont pas disponible comme l’ajout de carte à échanger par exemple, ces dernières étant lié directement à un App/un jeu précis.
– Une grande partie des “Joueurs actifs” sur les stats de SpaceWar sont des développeurs/testeurs de jeu ne possédant pas encore d’ID à eux. Cela peut être n’importe qui développant/testant un jeu: De quelqu’un sur Unity et voulant utiliser des features Steamwork, d’un projet un peu plus gros avec quelques dizaines/centaines de joueurs testant des versions alpha/beta qui ne sont pas encore sur Steam ou un plus grosse production (même si ces dernière possède généralement rapidement leur propre AppID privé en cour de dev). Bref, beaucoup de monde, beaucoup de petit jeux de développeurs du dimanche, de jeux indés qui sortirons ou peut être pas.
-SpaceWar ne sert presque plus d’AppID pour les jeux illégalement téléchargé. Pour vérifier cela vous même c’est très simple, si vous lancé un jeux téléchargé illégalement (c’est pas bien!), regardé votre liste d’amis et votre status. Si le crack utilise l’AppID de Spacewar, vous verrez (et vos amis aussi) que vous être en train de jouer à SpaceWar en ce moment (peut importe le jeu cracké auquel vous joué vraiment). Surprise, c’est souvent pas le cas. La plus part du temps, vous êtes en ligne mais avec un status neutre, et non en jeu. Alors le pourquoi: AppID n’est qu’une partie de la vérification DRM de Steal. Cracké un jeu présent sur Steam (sans parler de protections supplémentaire), est plus complexe que ça et surtout, une grande partie des équipes travaillant sur des cracks (car oui ce sont des équipes entière qui aujourd’hui travail sur des cracks de jeux) ont trouvé des solutions plus rapide.
Les deux principales sont:
1) Émuler un “serveur” de validation: Un exe est présent en plus avec le crack, le crack servant principalement à changer les adresses classiques de vérification vers une adresse local. Lorsque le jeu se lance est vérifie si le compte Steam ouvert possède le jeu dans sa librairie (entre autre avec le AppID), il ne le vérifie pas sur un serveur valide mais sur un faux local qui dit oui tout le temps. Et hop le tour est joué. Les dernières version de ce type de crack permettent même de simuler d’autres systèmes propres à Steam comme les Achievements etc.
2) Outrepasser la vérification steam: Plus complexe car cette dernière peut être implémenté différemment selon les jeux. Ici c’est du crack plus classique où on enlève la partie vérification de l’exe du jeu (c’est souvent le cas pour les cracks possédant un exe de lancement du jeu et une dll steam_appid). Cette façons ne permet pas d’émuler des achievements mais elle permet de ne pas s’embêter avec un serveur de vérification local. C’est le plus courant mais selon les jeux c’est plus ou moins dur à mettre en place (un simple jeu Unity utilisant le plugin officiel de Steamworks par exemple est un profil courant qui est aujourd’hui très rapide pour des équipes de cracks à cracké de cette façons). Bref, le plus courant aujourd’hui.
L’utilisation d’autres AppID (pas celle de SpaceWar) pour faire tourner des cracks est, aujourd’hui, utilisé pour contourné d’autres systèmes plus complexe où les failles viennent d’erreurs humaines. Comme Denuvo (DRM Complexe) et Doom (2016), où l’AppID de la démo du jeu à permit de faire tourner la version piraté du jeux complet, ces derniers ayant eu la même signature Denuvo.
TD;DR:
Cette article est pleins de fausses informations et un manque de recherche créer une confusion autour d’une réponse simple: SpaceWar sert d’outil pour les développeurs de jeux pour accéder aux features de Steam/Steamworks lors du développement quand ces dernier n’ont pas encore de AppID attribué.
L’utilisation de SpaceWar pour cracker des jeux est très rare aujourd’hui et les statistiques de ce dernier ne sont pas du tout représentative du piratage mais plus du nombre de devs/testeurs travaillant sur des jeux incluant des features de Steam.
Merci d’avoir lu et bonne journée à tous!
C’est la seconde fois que je poste ce message ! Supprimer ce dernier sans prendre en compte les remarques apporté ou répondre est illogique. Merci d’au moins le laisser pour que d’autres personnes puisse se renseigner correctement sur ce sujet qi vous ne souhaité pas mettre à jour l’article.
Wow. Je ne poste jamais de commentaire sur le JDG, mais
la cette article est vraiment mauvais. Cela se sent que très peu de
recherches ont été faite. Un peu de temps sur google vous aurais appris
que Space War n’est pas un jeu choisit au hasard par tout le monde et
que NON ce n’est pas un bonne valeur pour tracker les jeux piratés.
Mais bon, voici en quelques ligne pourquoi cette article est erroné et pourquoi il y a du monde sur “SpaceWar”:
– SpaceWar (appid 480) est une démo du SDK de Steamwork
permettant aux développeurs n’ayant pas encore de AppID (leur jeu n’est
pas validé pour être sur Steam pour le moment par exemple en cour de
production) d’utiliser une grande partie des features que Steam propose
aux développeurs (Matchmaking, Achievement, Invitation par liste d’amis
etc). Toutes ne sont pas disponible comme l’ajout de carte à échanger
par exemple, ces dernières étant lié directement à un App/un jeu précis.
– Une grande partie des “Joueurs actifs” sur les stats
de SpaceWar sont des développeurs/testeurs de jeu ne possédant pas
encore d’ID à eux. Cela peut être n’importe qui développant/testant un
jeu: De quelqu’un sur Unity et voulant utiliser des features Steamwork,
d’un projet un peu plus gros avec quelques dizaines/centaines de joueurs
testant des versions alpha/beta qui ne sont pas encore sur Steam ou un
plus grosse production (même si ces dernière possède généralement
rapidement leur propre AppID privé en cour de dev). Bref, beaucoup de
monde, beaucoup de petit jeux de développeurs du dimanche, de jeux indés
qui sortirons ou peut être pas.
-SpaceWar ne sert presque plus d’AppID pour les jeux
illégalement téléchargé. Pour vérifier cela vous même c’est très simple,
si vous lancé un jeux téléchargé illégalement (c’est pas bien!),
regardé votre liste d’amis et votre status. Si le crack utilise l’AppID
de Spacewar, vous verrez (et vos amis aussi) que vous être en train de
jouer à SpaceWar en ce moment (peut importe le jeu cracké auquel vous
joué vraiment). Surprise, c’est souvent pas le cas. La plus part du
temps, vous êtes en ligne mais avec un status neutre, et non en jeu.
Alors le pourquoi: AppID n’est qu’une partie de la vérification DRM de
Steal. Cracké un jeu présent sur Steam (sans parler de protections
supplémentaire), est plus complexe que ça et surtout, une grande partie
des équipes travaillant sur des cracks (car oui ce sont des équipes
entière qui aujourd’hui travail sur des cracks de jeux) ont trouvé des
solutions plus rapide.
Les deux principales sont:
1) Émuler un “serveur” de validation: Un exe est
présent en plus avec le crack, le crack servant principalement à changer
les adresses classiques de vérification vers une adresse local. Lorsque
le jeu se lance est vérifie si le compte Steam ouvert possède le jeu
dans sa librairie (entre autre avec le AppID), il ne le vérifie pas sur
un serveur valide mais sur un faux local qui dit oui tout le temps. Et
hop le tour est joué. Les dernières version de ce type de crack
permettent même de simuler d’autres systèmes propres à Steam comme les
Achievements etc.
2) Outrepasser la vérification steam: Plus complexe car
cette dernière peut être implémenté différemment selon les jeux. Ici
c’est du crack plus classique où on enlève la partie vérification de
l’exe du jeu (c’est souvent le cas pour les cracks possédant un exe de
lancement du jeu et une dll steam_appid). Cette façons ne permet pas
d’émuler des achievements mais elle permet de ne pas s’embêter avec un
serveur de vérification local. C’est le plus courant mais selon les jeux
c’est plus ou moins dur à mettre en place (un simple jeu Unity
utilisant le plugin officiel de Steamworks par exemple est un profil
courant qui est aujourd’hui très rapide pour des équipes de cracks à
cracké de cette façons). Bref, le plus courant aujourd’hui.
L’utilisation d’autres AppID (pas celle de SpaceWar)
pour faire tourner des cracks est, aujourd’hui, utilisé pour contourné
d’autres systèmes plus complexe où les failles viennent d’erreurs
humaines. Comme Denuvo (DRM Complexe) et Doom (2016), où l’AppID de la
démo du jeu à permit de faire tourner la version piraté du jeux complet,
ces derniers ayant eu la même signature Denuvo.
TD;DR:
Cette article est pleins de fausses informations et un
manque de recherche créer une confusion autour d’une réponse simple:
SpaceWar sert d’outil pour les développeurs de jeux pour accéder aux
features de Steam/Steamworks lors du développement quand ces dernier
n’ont pas encore de AppID attribué.
L’utilisation de SpaceWar pour cracker des jeux est
très rare aujourd’hui et les statistiques de ce dernier ne sont pas du
tout représentative du piratage mais plus du nombre de devs/testeurs
travaillant sur des jeux incluant des features de Steam.
Merci d’avoir lu et bonne journée à tous!
C’est vraiment très mal expliqué, si l’un de vos amis joue à Spacewar il y a plus de chance qu’il soit entrain de travailler sur son propre jeu que de jouer à un jeu piraté, à vous lire on dirait que c’est tout l’inverse. Aucune chance de se faire bannir pour ça puisqu’il suffit d’utiliser l’api fournie par Valve avec l’id de test pour être vu entrain de jouer à ce jeu, vraiment pourris cet article 👎