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On a posé 3 questions à Olivier Réocreux, chef de produit sur Little Nightmares

Alors que le visuellement délicieux Little Nightmares doit débarquer dans toutes les bonnes crèmeries ce vendredi (on aura un peu de retard pour le test, mais…

Alors que le visuellement délicieux Little Nightmares doit débarquer dans toutes les bonnes crèmeries ce vendredi (on aura un peu de retard pour le test, mais ça va arriver), on a eu l’occasion de poser quelques questions à Olivier Réocreux, chef de produit sur le jeu. Des inspirations qui ont nourri le jeu aux ambitions de ses créateurs, on fait le point.

Journal du Geek : Le jeu a été annoncé en 2014 sous le nom de Hunger. Il va sortir en 2017 sous celui de Little Nightmares. Pourquoi ce changement ?

Effectivement, le développement a commencé en 2013 chez Tarsier. Hunger, c’était le nom de code du projet à l’époque mais il est apparu que le nom pouvait poser problème avec la série Hunger Games. Et puis ça ne nous plaisait pas tant que ça, ça semblait un peu trop clivant, un peu trop restreint. On a tous collaboré au niveau Europe pour trouver un nom qui évoque les peurs d’enfants. On est tombé d’accord sur Little Nightmares. Mais le côté nourriture est bien évidemment resté un sujet récurrent dans le jeu.

Pouvez-vous nous citer quelques œuvres qui ont inspiré le jeu ?

Quand le public voit le jeu, il le raccroche vraiment au cinéma, notamment à La Cité des enfants perdus de Caro et Jeunet, ou à Delicatessen. Citons également le côté décalé des univers de Tim Burton. Maintenant, le jeu est vraiment le bébé des membres du studio et pas d’une seule personne. Aussi, il est le résultat des différentes inspirations des membres qui ont travaillé dessus, qui ont apporté leur(s) propre(s) peur(s) d’enfants mais aussi leurs inspirations en matière de cinéma, de roman ou de bande dessinée.

L’éditeur a choisi de porter très haut le jeu au niveau de sa communication. Ce qui est encore un peu surprenant compte tenu du fait que ce n’est pas un blockbuster, non ?

On a été encouragé par les très bons retours, aussi bien dans la presse, que chez tous les gens qui ont eu l’occasion de le voir sur les salons. On se rend compte que c’est un jeu qui a une grande portée car il raccroche par son identité visuelle très forte. Et on a donc décidé de le porter jusqu’en boite. C’était une de nos volontés de l’apporter dans le plus de mains et de salons possibles.

Little Nightmares, c’est sur PC, Xbox One et PS4 à partir du 28 avril, et nos dernières impressions, c’était par ici

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