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Un papa super héros pour la journée mondiale contre le cancer

Dans le cadre de la journée mondiale contre le cancer (4 février), Funidelia a voulu rendre hommage aux parents d’enfants souffrant du cancer. En collaboration avec…

Dans le cadre de la journée mondiale contre le cancer (4 février), Funidelia a voulu rendre hommage aux parents d’enfants souffrant du cancer. En collaboration avec une association de parents, Aspanoa, l’entreprise de vente de déguisements a voulu donner un coup de projecteur sur la figure du “super-papa”, protagonisé pour l’occasion par un acteur amateur, père d’un enfant atteint de la maladie dans “la vrai vie”.

Pourquoi Superman ?

Les véritables super-héros n’ont pas besoin de costume, et particulièrement les parents d’enfants atteints de cancer. Pour cette vidéo Funidelia a cependant voulu déguiser son protagoniste en Superman. L’histoire est une métaphore destinée à souligner l’importance qu’un papa peut avoir aux yeux de son enfant, elle parle de son combat de père pour préserver l’enfance de son fils, au-delà des circonstances. C’est également une référence à une réalité des familles atteintes : un diagnostic de cancer pédiatrique touche l’enfant mais également toute la famille. Pour les parents et l’entourage, au-delà du choc initial, cela implique une organisation nouvelle et une priorité de vie absolue : le bien-être et la guérison de l’enfant.

Le protagoniste de la vidéo, c’est Pascual, pompier de profession et père d’un enfant atteint du cancer. Cette vidéo décrit une journée type de sa vie. Petit-déjeuner, travail, embouteillage… Et une fin qui ne laissera personne indifférent. Le tournage a eu lieu dans le service d’Oncologie Pédiatrique de l’hôpital Miguel Servet, à Saragosse (Espagne), et dans un appartement d’accueil mis à disposition aux familles affectées par l’association espagnole Aspanoa, partenaire de cette action.

Le cancer pédiatrique : quelques chiffres

Dans le monde, environ 250 000 enfants sont touchés par le cancer chaque année, environ 90 000 d’entre eux succomberont à la maladie. Dans les pays développés tels que la France, le taux de guérison frôle les 80% alors qu’il n’est que de 20% dans les pays en voie de développement, faute de diagnostic suffisamment précoce et d’accès à une thérapie efficace.

Partout en Europe, des associations locales travaillent en collaborations avec les hôpitaux, offrant un soutien tant aux enfants comme aux familles. Pour les enfants, il peut s’agir d’aides destinées à faciliter le séjour à l’hôpital : kinésithérapeutes, travailleurs sociaux, musicothérapeutes, etc. Pour les parents, il peut s’agir d’aide psychologique mais également de la mise à disposition d’infrastructures comme un appartement d’accueil à proximité de l’hôpital.

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