Interrogé sur l’avenir du divertissement par le WSJD Live, Reed Hastings, fondateur et actuel PDG de Netflix, estime que les films et séries “deviendront comme l’opéra et le roman”, c’est-à-dire de plus en plus marginalisés par la population, qui leur préférera de nouveaux “substituts” plus dans l’ère du temps.
Take the blue pill
Et parmi ces “alternatives”, Reed Hastings envisage que certaines soient “pharmaceutiques”. “Dans vingt ou cinquante ans, prendre une pilule bleue personnalisée vous permettra d’halluciner de manière divertissante, puis prendre une pilule blanche pour retourner dans la réalité sera une pratique courante”, s’amuse Reed Hastings. Mais le PDG de Netflix tempère ses propos en précisant que “si dans une quarantaine d’années, la principale source de divertissement de l’humanité est pharmaceutique, alors on aura de vrais problèmes”. Il est vrai que personne ne veut d’un futur à la Matrix ou à la We Happy Few.
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Qu’est ce que c’est con comme prédiction
Surtout que les drogues en guise de divertissement ça existe déjà 🙂 D’ici 40 ans ça sera juste mieux accepté
Il a pas forcément tort de dire qu’à terme, nos moyens de divertissement actuels seront remplacés par d’autres. Mais prédire que ça sera de la drogue, c’est aller un peu loin.
J’ai pensé à la même chose pour la gestion de l’oreille interne pour les casques VR. En effet pour l’instant tous les casques posent des problèmes d’oreille interne lorsque le personnage du joueur est en mouvement et à par des pilules je vois pas comment y remédier.
Et la Vicodin !
Et s’ils arrivaient à mettre des films dans des pilules alors là ils seraient forts.
Plus besoin de faire la queue au cinoche, plus besoin de VOD et de toute l’infrastructure qui va avec.
Tu veux voir un film ? tu prends une pilule et tu t’enfonces dans le canapé !