Une fois n’est pas coutume, Mark Zuckerberg met la focale sur Facebook et ses employés pour nous présenter son data center européen situé à Luleå, ville sise au Nord de la Suède, près du cercle arctique.
Facebook y a installé son premier data center situé en dehors des États-Unis. Les travaux ont débuté en 2011 et le centre a ouvert ses portes en 2013.
Un lieu choisi avec soin
Pourquoi choisir Luleå ? Pour notamment sa position proche du cercle arctique qui permet à Facebook d’utiliser l’air (froid est-il besoin de le préciser) extérieur pour ventiler ses machines et refroidir son centre de données. Une mesure écologique, mais aussi économique puisque les substantielles économies d’énergies permettent des gains financiers non négligeables.
En plein hiver, quand les températures frôlent les -30 degrés le processus est inversé : c’est la chaleur dégagée par les serveurs qui sert à chauffer l’intérieur du bâtiment, grand comme 6 terrains de football (11 en comptant la surface totale du site).
À titre d’exemple, le hall principal est si grand que les employés, 150 au total, s’y déplacent en scooter.
Températures et images glacées
Ce sont donc des images glacées et métallique qui nous parviennent, à l’image des ventilateurs rutilants que l’on peut apercevoir sur l’une des photos postées par Zucky. Ce dernier précise également que le bois et l’artisanat locaux ont été privilégiés pour concevoir la façade du bâtiment.
En cas de panne, les serveurs peuvent être réparés en deux minutes, contre une heure il y a encore quelques années. Leur conception a été simplifiée de sorte qu’il ne faut qu’un seul technicien pour 25 000 serveurs.
« Ce système est 10 % plus efficace que la normale et on a recours à 40 % d’énergie en moins par rapport aux autres centres de données traditionnels », se félicite le boss de Facebook.
Les vieux disques durs et ceux devenus obsolètes sont brisés, « dans un souci de protection de la vie privée », souligne Mark Zuckerberg.
Il profite de l’occasion pour présenter la personne en charge de cette procédure ainsi que quelques employés triés sur le volet, ingénieur réseau, agent de sécurité, spécialiste des systèmes mécaniques ou encore le directeur du site.
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Ils ont dû sacrifier sur la latence avec une position aussi excentrée de l’Europe, mais cela semble être une bonne réalisation.
Toutefois, le souci de vie privée c’est bien, mais qu’en est-il du souci de recyclage ? Car leurs disques durs broyés n’y semblent pas très propices.
(au fait: “s’y déplacent en scooter” => à scooter, à moto, à vélo, à cheval, à trotinette, etc, c’est “à” quand on est-dessus et pas dedans)
Ben maintenant y’en a qui vont avoir envie d’aller travailler chez Sécuritas…..
Triste polluer autant et favoriser le réchauffement climatique pour stocker les banalités des utilisateurs.
Pour dire ça, il faut vivre dans un autre siècle. C’est de l’or en barre ces données.
Parce que tu crois que la banalité de ton commentaire est stocké comment ?
C’est pas comme si il y avais 2,7 milliards de likes inutiles par jours sur cet outils de commentaires, je dirais même, que vaut mieux gaspiller de l’énergie sur ce genre d’outils ou des gens posent des opinions qui peuvent avoir de l’intérêt que d’avoir des milliards de commentaires inutile et futile sur facebook 🙂
généralement des outils tels que Disqus sont utilisé sur des forums, blog ou autres sites où les discussion ont un niveau relativement plus élevé, que celle sur Facebook, au relents de kikoolol ascendant bisounours, concernant les photos des dernières vacances de ses utilisateurs, dont tout le monde se fout, de chats, de bébés…voir de bébés chats..!
après, tu fais ce que tu veux avec ton cul, hein..!
cool
salut mauro ca va en sta1
non ca vas pas de tout
Vous racontez TB