Urinary 2.0 est la création d’une start-up espagnole qui veut faire de chaque pipi une véritable aventure. Une invention sérieuse que ses trois créateurs, Eduard Gevorkyan, Ivan Giner et Miguel Angel Levanteri aimeraient voir se démocratiser. Ils espèrent ainsi pouvoir installer les premiers modèles en Islande, en Suède et en Autriche dans les prochaines années. Des pays très portés sur l’hygiène et donc susceptibles d’accrocher au concept.
Jet, contre-jet
L’Urinary 2.0 est basé sur un concept simple : il veut nettoyer votre molosse après chaque utilisation. Une fois votre petite affaire terminée, l’urinoir enverra un petit jet savonné sur votre ustensile. Un jet calculé au millimètre près, nous dit-on, pour ne pas mouiller votre pantalon.
Des capteurs détermineront le moment où vous avez terminé pour vous nettoyer. Ainsi, pas besoin d’appuyer sur un bouton et vous garderez les mains libres (pour plus d’hygiène). Petit plus, le jet se montrera différent selon la température ambiante. En hiver, ce sera donc un petit jet chaud qui vous nettoiera.
Urinary 2.0 promet une précision diabolique avec ses capteurs. Il sera ainsi capable de nettoyer tous les attributs viriles, que ce soient des troisièmes jambes ou des petits oiseaux.
Les créateurs d’Urinary 2.0 sont confiants dans leur technologie et espèrent la vendre pour 680 000 €. Notons qu’une version pour femmes est également en développement, dont le principe doit être très proche des actuelles toilettes modernes japonaises (si vous avez d’ailleurs quelques minutes devant vous lisez en intégralité ce fantastique article de Wikipedia).
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Mouais pour la partie pour les femmes franchement ils ont rien à inventé les toilettes japonais sont déjà là, jet d’eau, siège chauffant, musique éventuellement, pas grand chose à y changer.
Pour le truc pour les hommes perso j’aurai pas confiance, un mauvais calcul et bonjour la dégaine sorti de là.
MDR !
N’importe quoi ! la précision des jets reste à démontrer.
De plus ont-ils pensé aux éventuelles éclaboussures ?
On n’est pas à l’abri non plus d’un petit bougé.
Donc effectivement on risque de quitter le pissoir la queue entre les jambes parce que notre pantalon est tout mouillé.
Enfin il faut arrêter avec cette phobie de l’hygiène absolue.
Jusqu’à présent je doute que beaucoup de personnes se lavent systématiquement la zigounette ou la foufoune à chaque utilisation, en particulier sur les lieux de travail. Et pourtant on ne constate pas un taux de mortalité particulier associé à ce manque de “précaution”.
Trop d’hygiène peut avoir des conséquences négatives pour la peau et les organes génitaux, ce n’est pas moi qui l’affirme mais les médecins et les dermatologues.
Alors leur pissoir connecté n’est pas d’un grand intérêt, qu’ils utilisent plutôt la connectivité pour analyser l’urine, ce serai peut-être un peu plus utile, et encore je n’en suis pas sûr.
Laissons ce boulot aux médecins et aux laboratoires.
“on risque de quitter le pissoir la queue entre les jambes…”
Ben j’espère bien… ^^
“je doute que beaucoup de personnes se lavent systématiquement la zigounette… en particulier sur les lieux de travail”
Et bien j’en fait parti, mais parce qu’il y a une cabine “spécial handicapé”, avec lavabo dedans.
Sinon, je ne me vois pas sortir la teub à la main pour la laver dans le lavabo… 🙂