Les annonces des constructeurs se multiplient avant l’ouverture de l’IFA. Lenovo en a donc profité pour dévoiler une machine assez singulière. Le Lenovo Yoga Book se présente comme un ultrabook doté d’une particularité majeure : l’absence de clavier physique.
La configuration est en revanche très légère, l’objet se destinant surtout à des taches légères. La dalle de 10,1 pouces profite d’une définition Full HD, mais il faudra se contenter d’un processeur Intel Atom x5, de 4 Go de mémoire vive et d’un disque de stockage de 64 Go. Le poids est particulièrement convenu de 680 Grammes pour une épaisseur de 9,6 mm.
Un clavier… Invisible
Vous l’aurez compris, la feature majeure de l’appareil réside dans son clavier, qui apparaît via rétroéclairage. Il sera également possible de prendre des notes manuscrites, voire même de dessiner à l’aide d’un stylet Wacom sur l’étendue de la surface. L’absence de retour de frappe pourra en gêner quelques-uns, mais un système de retour de frappe est apparemment prévu. Le Yoga Book pourrait donc convenir aux artistes ou dessinateurs qui veulent une solution mobile pour travailler sur support numérique.
La YOGA Book est proposée à 499 € pour la version Android et à 599 € pour la version Windows. Les tarifs et la disponibilité peuvent varier d’un pays à l’autre. La disponibilité mondiale de tous les modèles débutera en septembre.
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Atom et 64 Go, de trop mauvais souvenirs ! mais ça pourrait peut-être être un excellent ChromeBook vitaminé avec les applis android !
Un note book pour le “graphiste amateur/en déplacement” avec des perf aussi légère (J’ai du mal à voir un logiciel Adobe tourner sans soucis)? Le clavier tactile rétroéclairé est pas mal, mais la frappe de texte sur tactile c’est pas la plus intuitive 🙁 .
D’accord, la frappe sur un clavier plat sans retour de frappe est assez désagréable.
Sinon, c’est plutôt une config pour faire tourner des applications type Android mais pas des logiciels/progiciels sous Windows.
Acer avait déjà proposé ce genre de produit il y a quelques années, avec le iconia. Windows ne gérant pas ce genre de config le terminal disposait d’une surcouche sensé permettre d’optimiser la configuration pour proposer de nouvelles interactions, mais l’ensemble était assez incohérent et donnait vraiment l’impression d’avoir à faire à un bricolage tentant d’imbriquer de force un système dans un concept qui n’était pas fait pour lui.