Les compagnies aériennes et les autorités ont évidemment la hantise de devoir faire face, un jour, à un crash d’avion provoqué par la présence d’un drone dans un couloir aérien. C’est pourquoi des solutions sont en train d’être développées pour sécuriser les zones sensibles.
Airbus, en collaboration avec Dedrone, est en pleine conception d’une solution intéressante. Il s’agit de couper les communications entre un drone et son pilote à terre, dans un rayon inédit de 10 kilomètres. De quoi assurer un bon niveau de sécurité autour d’un aéroport.
Ce système exploite des caméras et des capteurs qui servent à la détection des drones de petite taille. Une technologie de brouillage permet de mettre fin à la communication de l’appareil. Seul hic : le drone risque de s’écraser sur des zones habitées et provoquer des accidents…
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Bof, peu de choses en ces temps de “terrorisme” et de “massacres” !… Et les intérêts des gros poissons de l’Aérospatial valent bien quelques sacrifices : on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs et c’est tout bénéfice quand on casse les œufs des autres !… ( Tout ce cynisme n’est pas nouveau : il n’y a pas si longtemps, des millions de gens ( 100 est une “bonne” estimation …) ont péri et s’en est-on réellement préoccupé ?… Ce qui sera inédit, ce sera de présenter la facture, avec obligation de la payer !… )