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[IA, VR] Voyages-sncf.com prépare le voyage de demain

Voice commander, intelligence artificielle, réalité virtuelle et immersion, avec le smart tourisme, voyage-sncf.com tente d’imaginer le voyage de demain. Les nouvelles technologies imprègnent notre quotidien, les…

Voice commander, intelligence artificielle, réalité virtuelle et immersion, avec le smart tourisme, voyage-sncf.com tente d’imaginer le voyage de demain.

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Les nouvelles technologies imprègnent notre quotidien, les entreprises l’ont bien compris, elles s’adaptent tout autant qu’elles innovent en s’appropriant ces nouveautés pour les appliquer à leurs propres services.

Pour voyages-sncf.com cela se traduira par la possibilité offerte à ses clients de commander leurs billets grâce à une intelligence artificielle. Grâce à des hackatons organisés depuis trois ans maintenant, les développeurs et collaborateurs peuvent proposer de nouvelles solutions.

« L’interface vocale Amazon Echo a été développée dans ce cadre », explique Benoit Bouffart, directeur produits en charge de l’innovation chez Voyages-sncf.com. Cet outil fonctionne ainsi comme un assistant personnel, répondant au nom d’Alexa. Grâce à cette interface, vous pourrez commander un billet en fonction de divers critères, allant de la météo au budget alloué.

Plus Alexa interagit avec son propriétaire plus elle enrichit sa base de données et affine ses propositions.

Pour l’instant, Alexa d’Amazon Echo, qui fonctionne grâce à une connexion WiFi, n’est disponible qu’en anglais, mais devrait arriver en Europe sous peu, d’ici un an environ.

Voyage-sncf.com souhaite également proposer une expérience immersive à ses clients et teste actuellement la réalité virtuelle avec les casques Samsung Gear VR. Un outil qui s’adresse plus aux touristes qui découvriraient une ville pour la première fois qu’à des voyageurs réguliers.

Nous avons ainsi pu tester ce nouvel outil qui permet de visiter une ville via ses différents « points d’intérêts », autrement dit les lieux et monuments touristiques. En l’occurrence, c’est la ville de Lyon qui nous a été donnée de voir. À charge pour le touriste convaincu de réserver ensuite son billet (meilleurs tarifs, horaires, choix de la place dans le train, offre de services, etc.) toujours muni de son casque VR.

Ce qui n’est encore qu’un proof of concept (PoC) n’a pas vocation à être proposé au grand public. Une grande majorité de clients n’a pas encore appréhendé la réalité virtuelle et ses outils, notamment ces casques, encore réservés à un marché de niche. Mais comme l’indique Benoit Bouffart, « Ce sont les clients qui feront les usages ».

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6 commentaires
  1. sauf que la sncf à la base ce sont les transports du quotidien, pas uniquement des gros friqués du TGV

    et de ce côté rien de nouveau sous le soleil…

  2. Il ferait mieux déjà d’essayer de faire leur travaille de base correctement (je parle de la SNCF)… Incapable de tenir des horaires, train supprimés, nous sommes des centaines de milliers en France dépendant d’une entreprise ayant le monopole et incapable de tenir ces engagements pour des tarifs exorbitants….

  3. Ils ne cessent de privilégier le transport TGV alors que ce sont des millions de personnes qui galèrent dans leurs infra obsolètes… retards, pannes, personnel absent, lignes saturées, grèves & co c’est simple aujourd’hui le stress quotidien du travailleur lambda est largement imputable à ce service déplorable.

  4. Il est bon de savoir que la sncf est plutôt active ou réactive concernant les nouvelles technologies (comme la poste, elles sont peut être obligées de regarder de ce côté au vu de l’inertie du personnel). Cependant j’ai peur que les organisations syndicales du personnel voient ça comme un moyen de casser le personnel (tout gain de productivité sans embaucher est apparemment contraire à la pensée syndicale). La dernière grève du personnel de la sncf a permis de mettre un coût d’arrêt à un programme d’abaissement de la dette de l’entreprise (44 milliards d’euros de dette en fin 2014 et 50 milliards d’euros prévu pour 2020) qui ne peut passer que par un gain de productivité des agents et donc une baisse de leurs acquis (s’ils continues dans cette voie là, une bonne part des français accepteraient l’idée d’une liquidation future !). Mais peut être qu’avec des machines tel qu’echo (alexa), il pourrait y avoir une baisse drastique du coût d’équipement tel que les distributeurs de billets (qui doivent coûter un bras) remplacé par un guichet automatique (peut être un vrai guichet sur notre smartphone, en n’importe quel lieux), l’agent humain devant aider préférentiellement les plus âgés et les plus jeunes clients non autonomes. On réduirait les queues, fluidifirait le trafic des clients. Des IA s’occuperaient des affichages des arrivées et des départs, des réservations (et détermineront les prix), des annonces vocales en gares (et peut être sur smartphone pour notre train que l’on doit prendre, avec toujours la même voix) car elles seront bien plus efficaces que l’humain, lequel doit tout de même vérifier le tout (l’IA pouvant planter ou se faire attaquer par des pirates informatiques, lesquels peuvent être aussi des IA, monde de merde !). Les agents de la sncf auront eux aussi leurs instructions de ces IA (peut être offrir plus d’autonomie aux agents dans leurs missions en demandant à l’IA où il y a un besoin et permettre à l’agent d’être autonome et de choisir où il serait le plus utile selon les priorités) pour une gestion plus sereine sans administration lourde et RH désavouée.

Les commentaires sont fermés.

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