Cette fusée avait pour mission de mettre sur une très haute orbite un satellite japonais de télécommunications. Cette destination inédite a fait souffrir la fusée lors de sa rentrée dans l’atmosphère, et c’est ce qui était intéressant à suivre : allait-elle réussir à atterrir sur son drone sans encombres ?
La réponse est donc positive. C’est la troisième fois que SpaceX parvient à faire atterrir Falcon 9 sans dégâts. Après plusieurs tentatives ratées, la fusée s’est posée sur la terre ferme en décembre dernier, puis sur une barge flottante au milieu de l’océan Atlantique, le mois dernier.
SpaceX va poursuivre ses expérimentations dans les mois à venir, toujours en mer. L’objectif est d’économiser un maximum de carburant, ce qui n’est possible qu’en atterrissant sur des barges flottantes, et surtout de réutiliser les fusées plutôt que de devoir en fabriquer de nouvelles pour chaque lancement.
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Je ne pense pas que l’objectif soit un gain de carburant. La fusée en consomme beaucoup pour arrêter sa montée, se positionner, ralentir a une vitesse subsonique puis atterrir sur la barge. C’est surtout le coup de l’étage complet qui compte à mon avis.
L’économie de carburant, c’est par rapport à un atterrissage sur la terre ferme.
Et pendant ce temps là, Apple nous prépare une Apple Watch 2…
C’est énorme. Bravo SpaceX de nous faire rêver
Le “Retour” de Tintin !…
Récupérer le premier étage relève plus du numéro de cirque que d’une avancée dans la réduction des coûts de lancement. Les navettes étaient récupérables, on a vu les résultats en coût et fiabilité. Pour les américains l’effet d’annonce fait partie de l’outil qui crée l’image d’un pays possédant l’avance technologique ( le plus gros coup étant qu’ils ont réussi à faire croire qu’ils étaient les inventeurs d’internet alors que le seul projet ayant fonctionné était cyclades et dont Mr Pouzin s’est fait volé les protocoles, nos dirigeants incompétents préférant le développement du minitel par France Telecom ). De plus, je connais leurs financements en la matière et ils sont loin d’être réguliers vis à vis de la concurrence. En matière du top de d’espace, ils sont encore et toujours dépendant des russes pour envoyer des hommes dans l’espace et je crois bien que comme toujours il faudra attendre que l’industrie spatiale russe invente un système bas coût et fiable qu’on copiera comme d’habitude. L’urss fabriquait les fusées en grande série pour des coûts de lancement faibles mais il fallait lancer beaucoup. Aujourd’hui la donne a changé alors attendons de voir ce qu’ils vont nous ” pondre “.