En effet, grâce à une fine couche de graphène d’un atome d’épaisseur, les cellules photovoltaïques du panneau seraient en mesure de créer une sorte de condensateur naturel, en profitant des ions présents dans l’eau.
Avec un rendement encore trop faible pour espérer une véritable commercialisation, la performance n’en est pas moins prometteuse et laisse présager un bel avenir dans la résolution de la crise énergétique.
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Que devient l’eau une fois exploitée? Elle est plus buvable non?
Alors ce sont des panneaux “pluviaires”.
Ce serait chouette de s’éclairer avec des panneaux solaires par temps de pluie. Ce serait paradoxal mais au moins l’installation de tels panneaux élargirait considérablement leur champ d’utilisation.
Avec ça, les anglais vont redevenir la première puissance mondiale !!
C’est super de parler de rendement mais c’est quoi la puissance maximum théorique?