Qualcomm a sauté sur l’occasion et obtenu de la FAA l’autorisation de faire voler un drone au dessus du campus de San Diego. L’appareil ne pourra pas dépasser les 60 mètres d’altitude, mais cette hauteur est suffisante pour tester la communication entre le drone et son pilote sur le plancher des vaches, le tout dans un environnement saturé par les ondes (cellulaires et wi-fi).
Qualcomm se doit pour chaque vol de remplir un gros tas de paperasses, car le drone peut voler non loin d’une zone militaire. Mais c’est toujours mieux qu’avant : le constructeur était limité à des vols dans des hangars ou dans des lieux isolés de toutes infrastructures militaires ou commerciales.
Ces tests vont notamment servir à accélérer le développement d’applications pour les drones, aussi bien en termes de contrôle depuis le sol en LTE ou 5G (au delà de la portée du wi-fi), qu’au niveau du pilotage automatique.
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