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Google a versé 100 millions de dollars à Sundar Pichai en 2015

PDG de Google depuis l’été dernier, Sundar Pichai a reçu 100 millions de dollars de « compensation » pour l’année écoulée, la plus grosse partie en…

PDG de Google depuis l’été dernier, Sundar Pichai a reçu 100 millions de dollars de « compensation » pour l’année écoulée, la plus grosse partie en action. Rien de bien étonnant avec un chiffre d’affaires qui se compte en milliards.

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En même temps que Google passait sous le giron d’Alphabet, la nouvelle holding maison mère créée par Larry Page et Sergey Brin, le monde découvrait Sundar Pichai. À 43 ans, ce dernier devenait le nouveau CEO de Google, après en avoir gravi tous les échelons.

A ce titre, Sundar Pichai a reçu 100,5 millions de dollars de compensation en 2015 selon un document financier transmis par Alphabet à la SEC (Securities and Exchange Commission), mardi 29 mars.

Sur ces 100 millions de dollars, 99 820 000 $ d’actions bloquées seront acquises en totalité en 2017, son salaire de base s’élevant à 652 500 $.

Au total, Alphabet prévoit de distribuer plus de 600 millions de dollars de stock option à Puchai qui pourront être acquises au cours des années à venir. De quoi le laisser voir venir, mais surtout le retenir quelque temps à la tête du groupe.
Il détient également 11,6 millions d’options d’achat d’actions non acquises. Et il les vaut bien puisque ses collègues parlent de lui comme étant, « au quotidien, le meilleur CEO » auquel ils ont eu affaire, en comparaison de son prédécesseur Larry Page.

Le président exécutif de Google, Eric Schmidt, a reçu 8 040 000 dollars pour 2015, comprenant un salaire de 1,25 million $ et 6 millions de bonus. Bien moins que Ruth Porat, le directeur financier, avec 31 millions $ reçus, dont 25,1 millions en actions restreintes.

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8 commentaires
  1. Apres les gens vont se demander pourquoi il y a autant de licenciement dans le monde.
    Il faut comprendre que pour soutenir les salaires des big boss qui sont de plus en plus indecents il faut economiser quelque part.

  2. Les salaires fixes des patrons aux USA ne sont pas très élevés, et ce qui fait toute la différence, c’est la partie variable (bonus indexé sur les résultats personnels) et les stock-options (qu’il faut, je le rappelle, acheter avant de pouvoir les revendre et que tous les employés ont aussi).
    En France notamment, la partie fixe est souvent bien plus élevée, la partie variable est définie par le conseil d’administration composé de patrons d’autres entreprises du CAC40 (copinage et auto-rétribution quelque soit les résultats), et les plans d’actions (gratuites et non payantes comme les stock-options) ne sont distribués généralement que dans le haut de la hiérarchie (cadre, cadre sup et direction). C’est là que ça devient indescent.

    1. Ce qui est vraiment indécent c’est que des mecs puissent gagner autant quand d’autres crèvent la dalle partout dans le monde…
      Ce qui est vraiment indécent c’est que la majorité des ressources de la planète reviennent à une minorité…
      Ce qui est ENCORE plus indécent c’est que des gens trouve cela normal…
      Ce qui est …
      etc…

      J’pourrais continuer des heures comme ça mais bon tout le monde s’en fou au final.

      1. Faut le prendre de façon logique. Okay il se fait de la thune mais d’un autre coté est ce que les gens qui crevent la dalle ou même toi aurait la capacité, l’intellect et les épaules pour gerer un groupe qui pèsent plusieurs milliards de dollars ? permet moi d’en douter sérieusement. c’est mérité

  3. Je vois déjà le patron du Medef – P. G. – se plaindre des maigres rémunérations des patrons du CAC40 et réclamer encore plus haut et plus fort que les salariés doivent travailler plus et gagner moins pour améliorer la compétitivité des entreprises.

Les commentaires sont fermés.

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