La déclaration officielle est la suivante :
À compter de ce jour, les systèmes de conduite automatisée seront explicitement autorisés sur les routes, à condition qu’ils soient conformes aux règlements des Nations Unies sur les véhicules ou qu’ils puissent être contrôlés, voir désactivés par le conducteur.
Avant ces réglementations, aucune loi n’a été mise en place pour encadrer ce genre de véhicules. Ce n’est donc qu’un premier pas, qui concerne les quatre-roues qui possèdent des systèmes d’assistance.
Ce n’est pas une autorisation pour des voitures autonomes de niveau 4 ou 5, seulement pour les systèmes automatisés. (…) Ceci comprend notamment les systèmes qui, dans certaines circonstances, pourront prendre le contrôle du véhicule, sous la vigilance permanente du conducteur, comme les systèmes veillant au maintien de la trajectoire, les fonctions d’assistance au stationnement ainsi que la fonction autopilote sur autoroute.
Reste encore à aborder la question des responsabilités en cas d’accident, puis des voitures entièrement conduites par des intelligences artificielles. Aux États-Unis, ces dernières pourraient très bien finir par obtenir un statut de conducteur à part entière, et se passer entièrement de conducteur et donc, de volant.
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L’Europe a intérêt de ne pas se mettre trop en retard sinon il n’y aura pas de groupes automobiles européens, et français, sur ce créneau très juteux à terme. Heureusement que Renault à Nissan qui est présent et actif aux US, ce qui permet de vendre la Twizy Renault badgée Nissan !
Et est-ce qu’elles fonctionneront sur un système Android ou iOS 🙂