Ces données viennent d’une étude consommateur Référence des Equipements Connectés (REC) du cabinet GfK. Environ 32% de la population française n’aurait même jamais entendu parler de trackers d’activité et un autre 33% ne saurait en expliquer le fonctionnement ou l’utilité. De ceux qui connaissent mieux les wearables de près ou de loin, tous ne se laissent pas tenter par l’achat, rebutés par la peur du manque de protection des données, ou tout simplement par le prix.
Les acheteurs quant à eux, se situeraient majoritairement en Ile-de-France au moment de leur acquisition du produit (près de 50% d’entre eux).
Leurs critères lorsque vient le moment de choisir un modèle, sont généralement pour 60% de gens, l’autonomie de la batterie, 56% regardent surtout les fonctionnalités et 46% prêtent une grande attention à la taille et à la qualité de l’écran (bien sûr, ces chiffres se confondent).
Michael Mathieu, Directeur des marchés de l’image et téléphonie chez GfK en France, explique les stratégies employées pour augmenter le nombre d’achats. Il parle d’ajustements dans les campagnes et stratégies de communication.
Ces ajustements, accompagnés de sorties de nouveaux produits, devraient permettre au marché de poursuivre sur sa lancée en s’approchant des 1.5 million de pièces vendues d’ici la fin de l’année 2016
Qu’il s’agisse de son image ou de ses ventes, le marché des wearables a encore beaucoup de progrès à faire.
GfK a récolté des données de plus de 90 pays à travers le monde pour son étude.
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