Des déplacements horizontaux à la Double Dragon (avec possibilité de s’immiscer de quelques pas dans la profondeur du décor), deux combattants aux styles de combat radicalement opposés à la Final Fight, un découpage par niveaux eux-mêmes découpés en « écran », des coups sautés, des saisies, des uppercuts… on est bien dans un beat them all à l’ancienne, quelque part situé dans un univers entre Japon traditionnel et SF.
Si la mécanique de jeu et les combats n’apportent rien de bien nouveau (mais c’est pas l’idée et ça ne veut pas dire que c’est désagréable, au contraire ça l’est plutôt), Wako Factory mise sur des concepts articulés autour de la coopération pour convaincre, que ce soit lors des combats – les deux combattants pourront s’unir pour déclencher un super coup – ou, plus original, via le scénario. Car oui, il y a un scénario. À plusieurs moments clés de la progression, les deux joueurs se verront proposer des choix dont la réponse conduira à un embranchement particulier. Et s’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, ils régleront leur désaccord dans un duel spécialement conçu pour. C’est malin, et ça apporte en plus une bonne dose de rejouabilité puisque 8 fins différentes sont pour le moment prévues.
La prise en main est immédiate, le graphisme plutôt agréable même si l’animation est encore assez rigide. On s’en reparle un peu plus tard dans l’année, au moment de la sortie du jeu. Pour l’heure, seule une sortie PC est espérée, mais on verrait bien débarquer Samurai Riot sur consoles pour habiller les soirées canapé-nostalgie.
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