Les servo moteurs, les pompes et les extrudeuses émettent une musique bien particulière, qui peut être décortiquée et analysée pour deviner les mouvements et les déversements de plastique, de l’imprimante 3D. Ensuite, il ne reste plus au pirate qu’à reproduire l’objet chez lui. Après tout, chacun peut sans soucis avoir son imprimante à la maison.
Le professeur Mohammad Al Faruque de l’UCI, explique :
Dans beaucoup d’usines de construction, des gens qui travaillent régulièrement ne sont pas contrôlés pour leur smartphone, par exemple. Si le processus et la production d’information sont volés durant les phases de prototype, des compagnies risquent de grosses pertes financières. Il n’y a aucun moyen de protéger ces systèmes d’une telle attaque aujourd’hui, mais possibilité il y aura dans le futur.
Comme le virtuel peut désormais être matérialisé grâce aux imprimantes 3D, il est logique au final, de découvrir une nouvelle forme de piratage s’appliquant au monde physique.
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Il faudrait que ces machines produisent des bruits parasites pour éviter cela… mais l’algorithme les produisant devrait être suffisamment complexe pour éviter de retrouver en clair les bruits originaux
“La plupart des plans pour des objets ou des pièces à imprimer en 3D sont jalousement protégés par leurs propriétaires” ??????? regardez thingiverse … c’est publique … et c’est la plus grosse base de donnée de pièces à imprimer. D’où ça vous sort encore le fait que que les pièces à imprimer sont jalousement protégées ??? encore de la non documentation sur un sujet que vous ne maitrisez pas !!!
“phases de prototype, des compagnies risquent de grosses pertes financières.” > donc aucun rapport avec Thingiverse où justement tout est public ! On parle ici d’espionnage industriel 😉
“mais possibilité il y aura dans le futur.”, il est vert avec des grandes oreilles le monsieur ?