Passer au contenu

La voiture sans conducteur de Google prend la pluie

Google continue de tester sa voiture qui vous permet de regarder votre série sur la route et la fait rouler sous la pluie. La compagnie a…

Google continue de tester sa voiture qui vous permet de regarder votre série sur la route et la fait rouler sous la pluie. La compagnie a choisi une ville connue pour son temps pluvieux et y a lâché quelques voitures. Verdict.

kirkland-self-driving-car-kirkland

Depuis quelques jours les habitants de Kirkland, (dans l’État de Washington) ont remarqué plusieurs voitures se baladant sans personne au volant. De quoi rendre heureux le maire de la ville et folles les personnes qui qualifient cette machine de maléfique !

Google nous vole le seul moment où on est pas englués à nos écrans.

Sans parler de certains rapports selon lesquels la Google car serait maladroite et aurait failli causer plusieurs accidents, obligeant le conducteur à prendre le relais. 272 défaillances et 13 accidents manqués de justesse entre septembre 2014 et novembre 2015, selon Business Insider.

Pour l’instant, aucun incident notable ne semble à signaler à Kirkland. Pour Google en tout cas, cette ville est un endroit idéal pour leurs tests, aussi bien grâce à sa météo qu’à ses multiples collines.

Google cherche sans cesse à améliorer les performances de ses voitures, parfois sans même leur faire quitter le garage. Grâce à un simulateur de conduite, la compagnie peut faire voyager virtuellement ses voitures plus de trois millions de miles chaque jour (presque 5 millions de kilomètres).

La société aimerait voir plus de 10 millions de leurs véhicules sur les routes d’ici 2020.

google-self-driving-cars-autoroute

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

6 commentaires
  1. “272 défaillances et 13 accidents manqués de justesse entre septembre 2014 et novembre 2015”.
    C’est un peu mal traduit. Ou mal précisé.
    Un article de rue89 détaille mieux cette partie là. On y apprends que ces “272 défaillances” sont en réalité des moments où le conducteur a repris le volant et “forcé” la voiture, par exemple pour s’insérer de manière brutale dans un trafic dense à un carrefour car la voiture est trop prudente et ne s’insère pas. Si ce sont des comportements problématiques pour une voiture autonome, ce ne sont pas des comportements “à risque”.
    Cela peut être aussi la voiture qui fait un détour pour éviter un obstacle qui ne serait par exemple qu’un tas de feuille mortes dans lequel un conducteur normal aurait roulé.
    Les 13 “accidents manqués de justesse” sont effectivement des moments où le conducteur a décidé de reprendre le volant en urgence car il y avait un risque de collision. Une voiture qui déboule d’un parking ou je ne sais quoi par exemple. La gravité de l’accident évité n’est pas précisé (mais ça tiens plus souvent d’un peu de tôle froissé évitée que de risque de décès d’un piéton).
    Google avoue qu’on est encore loin des voitures vraiment autonomes, et les “pilotes” qui sont chargés des tests sont entrainés.
    Bref, article intéressant à lire, je vous laisse le chercher.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mode