Les personnes ayant déjà utilisé Tinder se sont peut-être déjà demandées s’il y avait quelqu’un ou quelque chose derrière leur match. Sean Rad, PDG de Tinder, a livré un semblant de réponse au site spécialisé Fast Company. Et elle pourrait en vexer certains. L’application délivrerait en effet une note de désirabilité, nommée Elo Score (semblable à celui des échecs), à l’ensemble de ses utilisateurs.
Cette dernière est attribuée via un algorithme particulièrement complexe, qui aurait mis deux ans et demi à se mettre en place, et prendrait en compte de nombreux facteurs. Rad explique que ce dernier ne se base pas « seulement sur le nombres de likes reçus », sans pour autant en préciser d’avantage.
Les utilisateurs peuvent en effet « swiper » (balayer avec le doigt) à gauche pour refuser un profil ou à droite pour en valider un. Si deux personnes s’acceptent, elles peuvent ensuite entamer une discussion via un chat.
Chris Dumler, qui analyse les données chez Tinder précise que ces millions de « décisions » quotidiennes créent un gigantesque système de vote. Selon lui, en likant ou rejetant une personne, les utilisateurs définissent les profils les plus désirés.
Certes, plusieurs raisons poussent un homme ou une femme à accepter quelqu’un, mais ne nous voilons pas la face : l’attrait physique reste prioritaire dans la majorité des cas.
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A quand l’algorithme contre les fakes?!
“Maison fonctionnement” ?
des millions d’utilisateurs ? ou de faux comptes ?
C’est d’une nullité ce truc. Même dans le cas d’un rare match, il n’y a jamais possibilité de dialoguer. Silence radio.
app Swipped left !
Ca c’est parce que t’es un laidron mon gars ^^