L’entreprise a utilisé une météorite trouvée en Argentine qui serait arrivée pendant l’ère préhistorique. Cette météorite a été travaillée avant d’être donnée comme matière première à un 3D Systems ProX DMP 320, une imprimante 3D qui travaille du métal plutôt que des plastiques.
Le résultat de cette impression est une échelle réduite d’un petit vaisseau que teste actuellement l’entreprise. Rien de bien impressionnant, certes, mais cela ne fait que renforcer l’idée selon laquelle l’utilisation de matériaux venus de l’espace n’est pas un rêve complètement fou.
L’entreprise est convaincue que le futur de l’exploration spatiale passe par la capacité de l’homme à construire dans l’espace. Et utiliser des ressources déjà présentes là-haut ne peut que rendre les choses plus faciles.
Pour l’entreprise, la prochaine étape sera de réaliser une impression similaire depuis l’espace, chose qui ne sera pas forcément aisée étant donné que là-haut, il n’y a pas de gravité. Surtout que l’imprimante utilisée par l’entreprise est loin d’être portable (voir l’image ci-dessus).
La réalisation de Planetary Resources est surtout symbolique, l’entreprise n’est pas plus proche de la réalisation de sa vision qu’elle ne l’était avant le CES. Toutefois, on ne peut que saluer la démonstration de l’entreprise.
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Du coup si les extra terrestres ont accès a toutes les ressources depuis l’espace, quel ressource pourrait les contraindre a venir envahir la terre ?
C’est plus une gymnastique de scénariste que de vrai scientifique.
Les japonais ont répondu à ça depuis longtemps : on ne trouve pas d’esclaves sexuels terriens dans le vide de l’espace ! (Ou ci peu..)