En effet, la mule robotique autonome aussi connu sous le nom de BigDog ou LS3 pour Legged Squad Support System a été testé durant plusieurs semaines par les marines pour en découvrir les possibilités sur le terrain. Malheureusement, son incapacité à rester discret du fait de son moteur à essence et sa complexité à être réparé en cas de souci n’ont pas joué en sa faveur.
Néanmoins tout ne semble pas perdu puisque Boston Dynamics va tout de même poursuivre ses travaux en vue d’améliorer la bête pour notamment pour la rendre plus discrète et tout aussi performante à l’aide d’un moteur électrique.
À défaut d’accompagner l’infanterie sur les lignes de fronts, celui-ci pourrait un jour servir à ravitailler les troupes ou à effectuer diverses reconnaissances.
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comment se fait-il que ce genre de bestiole ne soit pas déjà sur pile à combustible?
C’est le stockage de l’hydrogène qui doit poser problème.