Ici le smartphone est au service de la montre, avec son chronographe connecté, dans le but d’améliorer sa fonctionnalité.
Comme atout, la taille de l’écran et l’ergonomie de l’interface permettent aux usagers d’adopter la B55 rapidement. Ces derniers peuvent également utiliser leur smartphone pour effectuer certains réglages comme la mise à l’heure, les fuseaux horaires, l’alarme, les paramètres d’affichage et de fonctionnement, le mode nuit, etc.
Et inversement, certaines mesures de la montre son téléchargeable sur le smartphone : temps de vol, temps chronométrés avec temps intermédiaires, temps au tour, etc. Ces données peuvent ainsi être stockées, analysées et partagées.
Bien entendu l’ensemble des fonctionnalités d’une smartwatch classique est présent avec les notifications en cas d’appel, de SMS, d’e-mail, rappel rdv, notamment
Le bracelet de la montre est en caoutchouc bicolore et son boîtier se veut léger, mais tout de même en titane, équipé d’une lunette tournante à cavaliers, et d’un bracelet exclusif TwinPro en caoutchouc bicolore.
Sous le capot ? Un calibre B55 exclusif à affichage analogique et digital avec un mouvement SuperQuartz™ (certifié chronomètre par le COSC pour Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres) et diverses fonctions inédites et spécifiques pour les pilotes : tachymètre électronique, chronographe enregistrant jusqu’à 50 temps intermédiaires, système «countdown/countup» parfait pour les comptes à rebours et le chronométrage.
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8500 euros quand même…
Honnêtement le copier coller de l’agence presse est aussi flagrant que les fautes de syntaxe ou de grammaire.
Aie, Breitling n’est pas forcement une référence en horlogerie.
Des tanks qui passent leur vie en SAV.
Rolex, Audemar Piquet, oui, on parle horlogerie de qualité… ;o)