L’horloger suisse a noué un partenariat avec Visa pour cette seconde vague de lancement, qui se limite donc à une seule société financière. Nick Hayek, le patron de Swatch, a déjà eu l’occasion de regretter la frilosité des banques de son pays envers les nouvelles technologies de paiement sans contact.
Par ailleurs, le constructeur a également donné l’explication du nom de cette gamme. Il est inspiré du romancier américain Edward Bellamy, dont l’ouvrage Cent ans après ou l’An 2000 (écrit en 1888) imagine un système de paiement mobile, dans un monde où l’argent tel qu’on le connait a disparu. Un univers pas si éloigné du notre…
La Bellamy sera disponible début 2016.
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