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[Pour 4 raisons, au moins] Pourquoi Overwatch a déjà un temps d’avance sur la concurrence ?

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Annoncé lors de la BlizzCon 2014, Overwatch n’a cessé de fasciner. Fascination créée par la promesse d’un FPS qui réinventerait les codes du genre sans renier…

Annoncé lors de la BlizzCon 2014, Overwatch n’a cessé de fasciner. Fascination créée par la promesse d’un FPS qui réinventerait les codes du genre sans renier ses inspirations, mais également car Overwatch veut devenir un grand nom de l’eSport dans les prochaines années. Fascination également car c’est la première nouvelle licence créée par Blizzard depuis StarCraft. Et depuis quelques semaines, des joueurs chanceux ont accès à la bêta. Voici, en quatre points, pourquoi Overwatch a un temps d’avance sur la concurrence.

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1 – Car il dispose d’un gameplay ultra-soigné

Comme tous les jeux Blizzard, Overwatch est un concentré pur de gameplay aux petits oignons. Le principe du jeu est simple : vous jouez à 6 contre 6, en équipe, à travers deux modes de jeu (pour le moment). Le premier vous demande de défendre ou d’attaquer des points de contrôle alors que le deuxième nécessite d’escorter ou d’arrêter un convoi. Ce dernier se rapproche d’ailleurs beaucoup d’un MOBA. Pour atteindre vos objectifs, vous devrez dans tous les cas choisir un héros et jouer en équipe via un canal vocal intégré.

La première véritable force du gameplay d’Overwatch, c’est son accessibilité et son fun instantané. Chaque héros dispose de son propre style simple (et de trois à quatre capacités) ainsi que d’un rôle précis. Nous avons les tanks, les défenseurs, les assists et les premières lignes. Au vu des capacités de son héros, chacun sait ce qu’il a à faire sans avoir besoin de longues explications. Overwatch est un jeu Blizzard tout craché : facile à prendre en main, difficile à maîtriser.

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2 – Car la nécessité de s’adapter en permanence aux compositions adverses le rend extrêmement dynamique

Autre gros point fort du jeu : l’action non-stop. Pendant les 10 minutes que peut durer une partie, vous serez plongés dans l’action pendant 90% du temps, et ce, grâce à des maps extrêmement biens pensées ainsi qu’à des zones de conflits toujours centrées sur les objectifs (à l’image de ce que propose aussi Heroes of the Storm). Les longues secondes d’errance à chercher une cible n’existent pas. Du pur Blizzard, qui a condensé ce qu’il savait faire de mieux.

Mais ce qui rend Overwatch si caractéristique, c’est bien son gameplay centré sur les héros. Le joueur est amené, même encouragé, à changer de personnage plusieurs fois au cours d’une partie. C’est d’ailleurs l’une des clés de la réussite. L’équipe qui arrive à s’adapter le mieux au cours d’une partie gagnera le match. Ainsi, le joueur a la joie et l’obligation de découvrir plusieurs types de gameplay en quelques minutes seulement. Aucune partie ne se ressemble, chaque rôle est redéfini en fonction de la tournure d’une partie.

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3 – Car il est taillé pour l’eSport

Overwatch est non seulement fun à jouer, mais il l’est aussi à regarder ! Pourrait-il percer dans l’eSport ? Mystère. En tout cas, il a été taillé pour ça. Gameplay fun, nerveux, qui laisse la part belle aux retournements de situations et aux moments de bravoure (d’ailleurs, le meilleur joueur est récompensé à la fin de chaque partie), Overwatch a toutes les cartes en main pour attirer les foules.

Néanmoins, il faudra attendre juin pour commencer à parler d’eSport, même si Blizzard a déjà organisé des concours lors de la BlizzCon. En effet, la bêta est là pour corriger certains problèmes d’équilibrages qui subsistent encore. Par exemple, certains personnages se montrent trop pipés, capables à eux seuls de renverser une partie (on pense à Hanzo et Tracer) et d’autres, moins efficaces, sont boudés par les joueurs.

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4 – Car il se montre addictif, tout simplement

Ultra addictif, même. Addictif pour toutes les raisons invoquées ci-dessus. La grande force du jeu, c’est bien sa flexibilité. Vous pouvez y jouer non-stop toute une nuit ou prendre 20 minutes pour vous faire deux ou trois parties lors de votre pause déjeuner. Et à chaque fin de match, c’est toujours la même chose : on lutte pour ne pas en relancer une autre. Overwatch n’est rien d’autre qu’une barrette de fun pure sous forme d’un jeu vidéo. En ça, il rejoint la philosophie adoptée par son éditeur ces dernières années : créer des jeux qui proposent des sessions de jeu courtes et où l’action ne s’arrête jamais (Hearthstone, Heroes of the Storm).

Pas besoin d’être un cador de l’eSport pour s’amuser ou même avoir son petit moment de gloire, et c’est ce qui fait sa force. Même si la lassitude pourrait pointer le bout de son nez au bout d’un moment, Blizzard ne compte pas lâcher ses clients, puisqu’on sait déjà que de nouveaux personnages et de nouvelles maps seront proposés au fil du temps, afin de renouveler constamment le gameplay

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