C’est l’histoire de quatre étudiants en ingénierie de l’Université de Waterloo au Canada qui ont décidé de s’attaquer au problème d’impression des cartes à circuits imprimés. Leur solution, le Voltera V-One, une imprimante de la taille d’un ordinateur portable qui peut transformer les fichiers de conception en cartes prototypes en quelques minutes. Fini les délais et les dépenses inutiles de frais d’envoi.
Pour cela, Voltera V-One utilise le même principe de prototypage rapide sur lequel s’appuie l’impression 3D. L’imprimante utilise des encres conductrices et isolantes pour créer une carte à circuit imprimé à deux couches et permet également de distribuer de la pâte à souder, ce qui permet d’ajouter des composants à la carte.
En tant que lauréat international du James Dyson Award, l’équipe remporte la somme de 37 500€ qui permettra de développer davantage son projet.
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pas mal du tout.Ce serait sympa d’avoir ça en libre service. Un peu comme les imprimantes 3D .
Il faudrait un fichier de routage et hop 30 minutes plus tard on a son circuit. Fini de se brûler au perchlorure de fer…
vi, on verra ce que ca donne quand je recevrais la mienne 🙂
le perchlo ça fait longtemps que c’est plus utilisé… maintenant on fraise les pcb ou on coupe au laser !
la résistivité linéique est autrement plus faible car je doute que leur truc sois aussi bien que du cuivre…
idem pour la consommation en encre pour faire un plan de masse correct.
et qui dit résistivité linéique supérieure dit aussi plus d’emmerdes à cause de tensions induites dans les pistes en haute fréquence… perso pour moi ce truc c’est la reprap de la création de pcb. c’est un dire un truc qui fonctionnera mais avec une finition à chier et pleins de contraintes.